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Société/Environnement

Gabon /DGC: au service de l’intégrité, Zephirine ETOTOWA NTUTUME remet les agents véreux à l’ordre

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Dans un audio adressé aux agents de la Direction générale du Commerce réunis dans un groupe de discussion fermé, la Directrice générale de cette administration, Zephirine ETOTOWA NTUTUME a remis les pendules à l’heure. Cible de propos diffamatoires, de ses collaborateurs qui y mêlent denigrement, médisance et calomnie, la DG Commerce a choisi de leur répondre frontalement, leur rappelant, ses valeurs ainsi que ses classes qui lui ont valu sa nomination et son maintien à la tête de cette administration. Sortis du cadre restreint de cette discussion, les propos de la hiérarchie qui rappelle à l’ordre certains agents, loin d’exposer la directrice générale, révèle les dérives des agents publics qui ont rompu avec la retenue, la discipline et l’éthique professionnelle.

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Des agissements auxquels Zephirine ETOTOWA NTUTUME s’oppose avec force. Elle rappelle par ailleurs aux auteurs de ces dérives qu’ils seront très prochainement visés par une plainte. Regrettant le fait que nombreux de ces détracteurs ne semble avoir plus d’ambitions que d’emarger dans la seule administration du Commerce, où ils ont été admis. Pire, que ces derniers ne semblent être d’aucune valeur ajoutée pour leur administration.

Faut-il le rappeler, à son arrivée à la tête de la DGC, Zephirine ETOTOWA NTUTUME a hérité d’un contexte marqué par de nombreux dysfonctionnements. Soucieuse de la mission qui lui a été confié de redresser cette administration, Elle a engagé des réformes fermes et visibles pour mettre un terme à plusieurs pratiques nuisibles, telles que le racket des commerçants, l’absentéisme chronique des agents, les ordres de mission abusifs, l’attribution irrégulière d’autorisations commerciales et la tolérance de marchés parallèles et de ventes illégales.

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Ces réformes ont inévitablement mis fin à certaines sources de revenus illicites qui profitaient à une minorité d’agents. Cette rigueur a valu à la Directrice générale l’hostilité de certains cadres influents, souvent liés à l’ancien régime, qui voyaient en elle un obstacle à leurs intérêts. L’exposant ainsi au milieu des siens comme un agneau perdu dans une meute de loups. Des loups qui nonobstant les dysfonctionnements majeurs qui freinaient le rayonnement de la DGC, n’avaient d’ambitions que de servir leurs propres intérêts.

Pourtant depuis sa nomination, Zephirine NTUTUME ETOTOWA a traversé plusieurs remaniements ministériels et différents Conseils des ministres. Son maintien à ses fonctions est le signe de la confiance que lui temoignent ses supérieurs grâce à une gestion impeccable, rigoureuse et transparente. Pour beaucoup, elle incarne d’ailleurs la figure d’une dirigeante qui remet le commerce national sur de bons rails, loin des arrangements opaques d’hier. Les réformes entreprises depuis son arrivée traduisent sa volonté de restaurer l’intégrité et la crédibilité de l’administration du Commerce au Gabon.

Numérique

Gabon /GT LAB: une décennie d’opportunités pour la jeunesse gabonaise dans le numérique

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Depuis 2017, le programme GT LAB s’impose comme un tremplin incontournable pour les gabonaises et gabonais souhaitant embrasser une carrière dans les métiers du numérique. Lancé par Moov Africa Gabon Telecom, ce dispositif a déjà formé 3 823 apprenants, leur ouvrant les portes d’un secteur en pleine expansion.

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«Chaque parcours de formation commence par une opportunité », a rappellé avec fierté Léa SEKY OLOUNA, responsable du programme, soulignant l’importance de croire en la jeunesse et de lui fournir les outils nécessaires pour concrétiser ses ambitions. Car au-delà d’une simple initiative commerciale, GT LAB incarne un véritable engagement social et économique.

«Pouvoir dire « J’y ai contribué » est l’une des plus grandes fiertés de ma carrière », confie-t-elle. Cette implication personnelle se reflète dans la qualité de l’accompagnement, assuré par des formateurs passionnés et dévoués, parmi lesquels Christine BAGUELA ep SORO, Vaneyck et Sepha.

Le succès du GT LAB témoigne aussi de la confiance et de l’énergie des apprenants, moteurs essentiels de cette dynamique. Ensemble, ils prouvent que l’avenir du Gabon repose sur des mains agiles, créatives et connectées. Moov Africa Gabon Telecom, quant à lui, réaffirme ainsi son rôle clé dans la transformation digitale du pays, affirmant son ancrage dans une Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) pleinement assumée.

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Le programme GT LAB prépare aujourd’hui la jeunesse gabonaise à relever les défis technologiques de demain. Tout en consolidant la place du pays sur la scène numérique africaine.

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Société/Environnement

Crise à l’AGASA: retour au travail pour le SYNATA après des négociations

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Le Syndicat National des Agents de l’AGASA (SYNATA) a décidé de suspendre son mouvement de grève à compter du 4 novembre 2025. Cette décision fait suite à une réunion de suivi des négociations tenue le 3 novembre 2025 entre le SYNATA et la Direction Générale de l’AGASA, en présence de l’Inspection spéciale en charge du secteur agricole du Ministère du travail.

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Les parties ont discuté de plusieurs points importants, notamment la mise en place d’un moratoire sur les cotisations sociales, la présence d’un médecin du travail au sein de l’Agence et la mise en place d’un cadre de concertation pour discuter des points sujets à controverse. Le SYNATA a accepté de participer à ce cadre légal qui traitera des points tels que les rétrogradations, affectations et promotions jugées arbitraires, ainsi que de tous les sujets liés à la modification substantielle de l’organigramme de l’AGASA.


Le SYNATA invite tous ses adhérents et sympathisants à rester mobilisés et solidaires pour que cette concertation aboutisse dans l’intérêt collectif de l’AGASA et de la nation. Le syndicat rappelle que sa lutte est celle de la légalité, de la justice et de la cohésion au sein de la maison AGASA.

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Société/Environnement

Gabon/ interdiction de la vente de sachets d’eau par l’AGASA: un défi de gouvernance scientifique et sanitaire

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[L]’annonce, le 27 octobre 2025, de l’Agence Gabonaise de Sécurité Alimentaire (AGASA) interdisant la vente de sachets d’eau soulève des interrogations majeures quant à la rigueur scientifique et la proportionnalité de cette décision. Au-delà d’un simple produit, l’eau destinée à la consommation humaine est un vecteur vital et un indicateur clé de la gouvernance sanitaire d’un pays.

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L’eau potable ne saurait être considérée comme un simple bien de consommation. En tant qu’aliment à part entière, elle doit répondre aux mêmes exigences de sécurité, qualité et traçabilité que tout produit alimentaire. La sécurité sanitaire de l’eau illustre la performance du système de santé publique et la maturité réglementaire d’un État. Ainsi, toute mesure affectant ce produit essentiel engage la souveraineté alimentaire nationale et le droit constitutionnel des Gabonais à une alimentation.

Dans ce sens le Dr Patrick ENKORO, ancien DG de l’AGASA a fait une sortie disant que «Le peuple voudrait savoir quels sont les faits tangibles révélés, étayés scientifiquement et dont l’ampleur systémique menacerait la santé des consommateurs gabonais au point d’interdire en tout état de cause la distribution et la commercialisation des eaux en sachet ?». Rappelant au passage que «la sécurité sanitaire et nutritionnelle des aliments n’est pas un jeu mais un enjeu majeur de souveraineté nationale, elle poursuit l’objectif de bien nourrir les gabonais et non de faire du tintamarre».

En effet , la méthodologie scientifique est un impératif pour toute décision de restriction sanitaire. L’évaluation des risques doit suivre un protocole rigoureux comportant identification et caractérisation des dangers, évaluation précise de l’exposition et caractérisation du risque global. Sans données robustes et transparentes, une décision d’interdiction perd toute crédibilité et fragilise l’autorité de l’AGASA.

La note administrative récente de l’AGASA n’apporte pas de réponses claires sur la base analytique de la décision. Aucun détail quant au nombre d’échantillons, aux méthodes utilisées, ni à la répartition géographique des résultats n’a été communiqué. Cette absence de données claires va à l’encontre du principe fondamental de proportionnalité et remet en cause la légitimité d’une interdiction généralisée, sans distinctions par opérateurs ou zones.

Une interdiction mal étayée peut avoir des effets contraires à ceux escomptés :Sur la santé publique dans la substitution par des sources d’eau non contrôlées, augmentation des risques sanitaires.Sur les opérateurs économiques, avec des pertes financières, faillites et découragement des acteurs responsables. Sur la crédibilité de l’AGASA avec la perte de légitimité scientifique et affaiblissement de la gouvernance sanitaire.

L’AGASA devrait privilégier une approche constructive fondée sur la preuve et la proportionnalité, avec trois axes majeurs :

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     – Publication d’analyses certifiées et communication transparente des résultats;               

     – Adoption de mesures ciblées adaptées aux opérateurs, lots et zones concernées;

     – Mise en place de plans correctifs intégrant contrôle, accompagnement technique et renforcement des capacités.

Pour restaurer sa crédibilité et son autorité scientifique, l’AGASA devrait publier un rapport détaillé et circonstancié des analyses. Laquelle placée sous l’autorité du ministère de l’accès universel à l’eau a pour attribution la délivrance des agréments techniques pour la production, la conservation et la distribution de l’eau potable.

En plus d’impliquer les ministères sectoriels concernés dans la prise de décision. Notamment la Direction générale de L’eau, Elle pourrait également créer un comité scientifique indépendant. Et renforcer la formation continue de ses équipes.

La sécurité sanitaire de l’eau ne peut être instrumentalisée par des décisions administratives sans fondement scientifique solide. La vraie autorité scientifique s’appuie sur la preuve, la rigueur et la transparence, dans le respect de la proportionnalité des mes’pures. L’AGASA doit rester le rempart scientifique contre le risque alimentaire et non devenir un outil de gestion politique.

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