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Economie

UBA & BGFI chez OLIGUI NGUEMA

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Libreville, le 5 mai 2025 Le Président de la République, Chef de l’État, Son Excellence Brice Clotaire Oligui Nguema, a reçu en audience ce jour une délégation conjointe du groupe bancaire BGFI et  UBA conduite par le Président du Conseil d’administration du groupe UBA, M. Tony Elumelu. Au cours de cette audience, la délégation a adressé ses chaleureuses félicitations au Chef de l’État, récemment investi, pour sa prise de fonction à la tête de la République Gabonaise.

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S’exprimant au nom du groupe, le président du Conseil d’administration a salué les engagements forts pris par le Président de la République à l’endroit du peuple gabonais tout au long de la campagne électorale, soulignant que ceux-ci suscitent une grande confiance et un réel espoir pour l’avenir du pays. La délégation a également réaffirmé la volonté des groupes UBA et BGFI de soutenir la vision politique et économique du Président de la République et exprimé sa disponibilité à accompagner le Gabon dans ses efforts de développement, à travers des partenariats structurants et durables.

Tout réitérant ses vœux  de succès au Président de la République, monsieur Tony Elumelu a tenu à remercier  le Chef de l’État pour la distinction honorifique.

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Le Gabon décroche plus de 1600 milliards FCFA auprès d’Afreximbank pour soutenir la transformation minière et énergétique

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Abuja, Nigéria — En marge de la 32ᵉ Assemblée annuelle de la Banque africaine d’Import-Export (Afreximbank), le Gabon vient de franchir une étape décisive dans sa stratégie de valorisation locale des ressources naturelles. Une délégation ministérielle de haut niveau a signé ce 27 juin deux conventions majeures de financement avec l’institution panafricaine, pour un montant cumulé de plus de 1 700 milliards FCFA.

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3 milliards USD pour transformer localement les ressources minières

Le principal accord, d’un montant de 3 milliards de dollars américains (environ 1600 milliards FCFA), est destiné au financement d’infrastructures stratégiques, avec trois priorités :

La transformation locale du manganèse, ressource dont le Gabon est l’un des premiers producteurs mondiaux ; Le renforcement de l’offre énergétique nationale, condition sine qua non d’une industrialisation efficace ; La construction d’une nouvelle ligne ferroviaire, maillon essentiel de la logistique minière et du désenclavement économique.

Ce financement s’inscrit pleinement dans la vision du Président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema, qui ambitionne une industrialisation souveraine et durable. Il s’agit de mettre un terme à l’exportation brute des minerais et d’asseoir un modèle de transformation locale, générateur d’emplois et de valeur ajoutée.

112 milliards FCFA supplémentaires pour les centrales électriques

En parallèle, un financement additionnel de 200 millions d’euros (soit 112 milliards FCFA) a été alloué pour la construction de trois centrales énergétiques situées à Libreville, Port-Gentil et Lambaréné. Ces infrastructures porteront la capacité énergétique nationale de 300 mégawatts supplémentaires, renforçant ainsi la résilience du réseau électrique et répondant aux besoins croissants des futurs pôles industriels.

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Une délégation gabonaise mobilisée et ambitieuse

La signature de ces conventions a mobilisé plusieurs membres du gouvernement gabonais, dont :

Henri-Claude Oyima, Ministre d’État, Ministre de l’Économie, des Finances; Gilles Nembe, Ministre des Mines et des Ressources géologiques ; Philippe Tonangoye, Ministre de l’Accès universel à l’Eau et à l’Énergie ; Louise Ovono, Ministre de la Planification et de la Prospective.

Leur présence à Abuja témoigne d’une volonté affirmée d’accélérer les projets structurants dans les secteurs minier, énergétique et logistique, au moment même où des projets miniers stratégiques tels que Belinga et Baniaka s’apprêtent à entrer en phase de production.

Cap sur 2029 : une échéance stratégique

L’un des jalons les plus importants de cette dynamique est l’échéance de janvier 2029, date fixée pour la mise en œuvre effective de la transformation locale des ressources minières, notamment du manganèse. Cette réforme structurelle pourrait repositionner le Gabon comme un acteur industriel incontournable en Afrique centrale, capable de tirer pleinement profit de ses ressources naturelles tout en respectant les exigences environnementales et de durabilité.

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Gabon-Eramet: un groupe de travail pour transformer localement le manganèse

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Le Gabon vise une transformation intégrale du manganèse d’ici 2029. Pour atteindre cet objectif, le Ministère des Mines et des Ressources Géologiques a organisé une réunion avec les principaux acteurs du secteur, notamment COMILOG, NGM, CICMHZ et AMD. L’objectif est de transformer localement 100 % du manganèse extrait sur le territoire gabonais, conformément à la décision du Président de la République, prise en Conseil des ministres le 20 juin 2025.

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Cette rencontre a mis en avant la nécessité d’une coopération renforcée entre les entreprises pour mutualiser les efforts et accélérer les investissements nécessaires. L’opérateur NGM a déjà annoncé la création d’une unité de transformation de 70 000 tonnes d’alliages de manganèse.

Le Ministre des Mines, Gilles NEMBE, a également discuté avec le Directeur Général d’ERAMET, Paulo CASTELLARI, pour mettre en place un groupe de travail commun Etat Gabonais – Eramet sur la transformation locale du manganèse. Cette initiative vise à concrétiser la vision du Président de la République et à valoriser les ressources minières du Gabon.

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Gabon : Le gouvernement interdit l’importation du poulet de chair à partir du 1er janvier 2027

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Selon le communiqué final du conseil des ministres présidé par le Président de la République, Chef de l’Etat, Brice Clotaire Oligui Nguema, du vendredi 30 Mai 2025, le gouvernement a décidé d’interdire l’importation de poulet de chair pour promouvoir l’aviculture nationale, afin d’assurer la sécurité alimentaire. À cet effet, l’interdiction sera effective à partir du 1er janvier 2027, laissant ainsi un délai de 18 mois (1 an et 6 mois) aux acteurs économiques de ce secteur d’activité, pour se structurer, se préparer à investir dans l’optique de répondre à la demande nationale.

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En effet, l’État à pour objectif de diminuer sa dépendance vis-à-vis des importations de volailles et de renforcer la sécurité alimentaire du pays. Par conséquent, la promotion de la production avicole locale devrait avoir des retombées positives sur les zones rurales, dans la mesure où celle-ci va générer des emplois et contribuer au développement d’un écosystème avicole dynamique et performant, « Cette mesure vise à redonner toute sa place à la production avicole nationale, à stimuler l’investissement agricole, à réduire la dépendance alimentaire et à renforcer la balance commerciale », propos relevés du communiqué final du conseil des ministres.

Communément appelé la star des réfrigérateurs, le poulet surgelé importé est l’aliment le plus consommé par la population, du fait de son prix bas et de son conditionnement prêt à cuire dans une marmite. Après de lourdes réflexions, L’État espère favoriser ce domaine d’activité, « l’émergence d’un tissu d’emplois ruraux, la montée en qualité des produits consommés localement et la création d’un écosystème économique autour de cette filière ». Dixit le communiqué du conseil des ministres.

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De même, le gouvernement a également prévu un plan opérationnel structuré qui devra être présenté dans un délai de 45 jours par les ministres en charge de l’Économie et du Commerce.

En plus de cette décision stratégique, le conseil des ministres a également annoncé l’interdiction d’exportation du manganèse brut à partir du 1er janvier 2029. L’objet de ce décret est de promouvoir le développement industriel national, de créer des emplois et de tirer un maximum de plus value de cette ressource dont le Gabon est le 2ème producteur mondial.

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