Communiqué
Airtel Gabon, premier opérateur fixe autorisé
Libreville, le 07 janvier 2025 — Le secteur des télécommunications gabonais franchit aujourd’hui une étape décisive grâce à la signature d’un accord historique octroyant à Airtel Gabon la première autorisation globale d’opérateur fixe. Cette avancée majeure, rendue possible grâce à la vision stratégique de Son Excellence le Président de la République et au soutien du Ministère de l’Économie Numérique et de l’ARCEP, marque un tournant pour l’ensemble de la population gabonaise.
Une triple avancée au service des Gabonais
À travers cette autorisation, Airtel Gabon s’engage à apporter des solutions technologiques adaptées à tous, grâce à trois services clés :
1. Internet haut débit via la fibre optique : Offrant aux entreprises et particuliers une connectivité fiable, performante et à des tarifs compétitifs.
2. Connectivité pour les zones les plus reculées : Déploiement d’innovations technologiques permettant de connecter les localités éloignées et jusque-là enclavées, dans l’objectif d’assurer une véritable inclusion numérique sur tout le territoire.
3. Transport de données par faisceaux hertziens : Fourniture de solutions de connectivité sur mesure pour tout opérateur économique, stimulant ainsi la collaboration et la compétitivité.
Ces innovations placent Airtel Gabon au cœur d’une dynamique de réduction des fractures numériques et d’amélioration des services de télécommunications, contribuant significativement à l’intégration numérique de tous les citoyens.
Une volonté partagée pour un Gabon inclusif et compétitif
Cette avancée souligne également l’engagement fort de l’État gabonais à instaurer une concurrence saine et transparente entre opérateurs, un levier essentiel pour la réduction des coûts des services de télécommunications. En intégrant ces objectifs dans la politique nationale de lutte contre la cherté de la vie, le Gouvernement démontre sa ferme volonté de créer des conditions favorables au bien-être des populations.
Airtel Gabon, acteur majeur du changement
En tant que partenaire stratégique et dynamique du développement numérique national, Airtel Gabon joue un rôle clé dans la réalisation de cette vision commune. Depuis plusieurs années, l’entreprise investit dans les infrastructures, la technologie et le capital humain afin de soutenir la transformation digitale du pays.
Avec ce nouvel accord, Airtel intensifie son engagement à réduire la fracture numérique en offrant des services accessibles, innovants et durables. Notre ambition est de connecter les Gabonais partout où ils se trouvent et de leur offrir des outils leur permettant de participer pleinement à l’économie numérique mondiale.
Une ambition partagée pour l’inclusion numérique
Nous saluons l’impulsion décisive donnée par les autorités, et renouvelons notre engagement à être un partenaire de premier plan dans la construction d’un Gabon connecté, compétitif et inclusif. Ensemble, nous sommes convaincus que cette dynamique contribue non seulement à la modernisation du secteur des télécommunications, mais également à l’amélioration de la vie de tous les Gabonais, réduisant ainsi les inégalités et favorisant un développement économique équitable.
Communiqué
Airtel Africa en collaboration stratégique avec les meilleurs artistes africains pour promouvoir une meilleure utilisation des données
Afrique, 20 janvier 2025 : Airtel Africa, l’un des principaux fournisseurs de services de télécommunications et d’argent mobile dans 14 pays africains, s’est associé à trois artistes africains de renommée internationale, Fally Ipupa (République démocratique du Congo), Diamond Platnumz (Tanzanie) et Simi (Nigeria) pour inciter les clients à améliorer leur expérience numérique en tirant le meilleur parti de leurs forfaits de données.
Grâce à cette collaboration, Airtel Africa vise à permettre aux clients de prendre des décisions éclairées sur leurs habitudes d’utilisation des données. Les artistes ont collaboré avec Airtel Africa pour créer une chanson spéciale afin de fournir aux clients des conseils et des outils pratiques qui les aideront à maximiser leurs données pour un usage quotidien, de la navigation sur Internet au streaming et à l’accès aux applications essentielles.
Cette collaboration fait partie de la campagne en cours #SmartaWithData qui promeut l’éducation pour une meilleure utilisation et gestion des données. Elle vise à rallier les clients d’Airtel Africa pour OBTENIR des paramètres de données plus intelligents, DÉFINIR des vitesses de données plus intelligentes et PASSER au #SmartaWithData pour une expérience numérique plus enrichissante.
La campagne d’information et de divertissement est actuellement active sur le réseau Airtel dans sept pays africains : Kenya, Nigeria, Ouganda, Tanzanie, République démocratique du Congo (RDC), Zambie et Malawi, à destination des jeunes clients, âgés de 18 à 35 ans.
Revenant sur cette campagne, Rohit Marwha, directeur du Marketing et des Ventes chez Airtel Africa, a déclaré ,”Notre objectif avec cette campagne est de garantir que nos clients tirent le meilleur parti des forfaits de données Airtel, améliorant ainsi leur expérience en ligne. En collaborant avec ces artistes, que nos clients aiment et avec lesquels ils interagissent au quotidien, nous nous assurons qu’ils soient conscients de ces piratages de données, et qu’ils peuvent, avec plus de facilité, utiliser et gérer leurs données grâce à des messages clairs qui les atteignent.
Chez Airtel Africa, notre priorité est de créer des expériences client exceptionnelles avec nos produits et services. Nous espérons que grâce à cette campagne, à la fois d’information et de divertissement, menée par d’authentiques artistes africains de renommée internationale, nos clients seront responsabilisés et vivront des expériences en ligne enrichissantes, que ce soit pour les affaires ou les loisirs.
“ La campagne #SmartaWithData d’Airtel Africa propose des conseils pour aider les clients à utiliser plus intelligemment leurs données, tout en les encourageant à participer et à partager leurs propres astuces.
Les clients peuvent accéder facilement à tous les forfaits de données via USSD, Airtel Lite ou l’application MyAirtel. -FIN-
Communiqué
Libreville: réouverture de l’axe Hotel de la Can-carrefour Cenarest
Le ministre des Travaux Publics, le Général Flavien NZENGUI NZOUNDOU, a procédé, ce 31 décembre 2024, à la réouverture du trafic routier de l’axe routier hôtel de la Can – Carrefour CENAREST (Sibang). Matérialisant ainsi son annonce faite lors de sa visite inopinée du week-end écoulé. La remise en circulation de cette voie est une instruction spéciale du Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Général de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, qui a exprimé le souhait de voir les usagers et les populations environnantes du Bassin Versant de Terre Nouvelle (BVTN) se mouvoir en tout quiétude en cette période festive liée aux fêtes de fin d’année.
Pour rappel, cette route était fermée à la circulation en raison de la construction d’un ouvrage hydraulique pour drainer les eaux de pluies. Débuté en juillet 2024, cet ouvrage fait partie du projet d’aménagement du Bassin Versant de Terre Nouvelle, soutenue financièrement par la Banque Islamique de Développement (BID).
Le projet de cet ouvrage de drainage est réalisé par la société SOGEA-SATOM, sous le contrôle du consultant CIRA et la supervision de l’Unité de Coordination des Études et Travaux (UCET). L’ouvrage permettra un meilleur ruissellement des eaux en évitant, en définitive, les inondations souvent déplorées dans la zone.
L’occasion était donc donnée au Ministre des Travaux Publics d’exprimer ses vœux les meilleurs à toutes les entités impliquées dans la réalisation du projet d’aménagement du Bassin Versant de Terre Nouvelle.
Communiqué
Gabon /subvention à la presse 2024: des critères qui ne tiennent pas debout d’énoncés par la presse
Nous avons appris au journal de 20h, du 27 décembre 2024 de la chaîne de télévision publique Gabon Première, une communication émanant du ministère de la communication et des médias invitant les responsables des entreprises de presse, à aller déposer du 2 au 12 Janvier 2025, à la porte 106 dudit ministère, les dossiers relatifs à la subvention de l’État à la presse écrite et en ligne, édition 2024.
Nous tenons d’abord à remercier très sincèrement le Président de la transition, Président de la République, chef de l’État, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, pour s’être impliqué personnellement dans ce dossier d’aide de l’État à la presse privée, en revalorisant, par quatre, ce soutien qui existe depuis 2003, mais que le régime déchu avait baissé à 127 millions de nos francs.
Cependant, les organisations des entreprises de presse suivantes: ( Opam, CPPPL, UPPIG, UGPS, RENAJI), fustigent le fait qu’à chaque année, la tutelle ministérielle crée toujours des nouveaux critères d’attribution de cette subvention.
En effet, les organisations citées plus haut ne comprennent pas qu’un même ministère, dans le cadre de l’Organisation du dialogue national inclusif et récemment pour la couverture de la campagne référendaire de novembre dernier, accrédite, sur la base des documents de création d’une entreprise de presse, les journaux, et que ce même ministère, un mois plus tard, exige de nouveaux critères à ces mêmes organes de presse lorsqu’il s’agit de la subvention de l’État à la presse privée. Question: une institution peut-elle accréditer aux grands événements, un organe de presse qui n’est pas en règle?
En exigeant, par exemple, la carte de presse dans ce dossier, nous notons que depuis la mise en place du gouvernement de la transition, le ministère de la communication et des médias n’a délivré aucune carte de presse à un professionnel des médias. Alors, une administration peut-elle exiger un document qu’elle n’a jamais délivré?
Sur les journaux sanctionnés par la Hac qui seraient exclus de la subvention. Nous disons qu’un journal qui a subi une suspension avec des conséquences financières que cela engendre, ne peut pas être sanctionné pour une même faute alors qu’il a purgé sa peine.
Les organisations de la presse libre et indépendante pensent que ce critère, à lui seul, constitue une atteinte grave et flagrante à la liberté de la presse. Nous ne pensons pas que la volonté du président de la République soit de museler la presse. Bien au contraire, sa volonté est celle de restaurer la dignité de la presse gabonaise, et il l’a réitéré moult fois.
Sur le plan d’utilisation des fonds, la régularité des organes de presse est la meilleure preuve que lesdits fonds ont contribué à accompagner les entreprises de presse dans leur fonctionnement pendant toute l’année 2024..
Nous pensons que la Kyrielle de critères imposés par le ministère de la communication fait partie des méthodes dilatoires utilisées comme prétexte pour ne pas payer la subvention à temps, ainsi que le souhaite le Président de la République.
Car sur le plan pratique, la subvention à la presse est déjà disponible au Trésor public et cette administration ne demande plus que les relevés d’identité bancaire des entreprises de presse bénéficiaires de cette manne. Or, la tutelle prend 10 jours pour le seul dépôt des dossiers des demandeurs. Il y aura certainement encore plusieurs jours pour la tenue des travaux de la fameuse commission chargée de la répartition de cette subvention. C’est trop long pour une aide que la presse attend depuis plusieurs mois.
Nous rappelons que cette subvention appartenant exclusivement aux entreprises de presse, aucune autre entité ne doit bénéficier de cette dernière en guise de per diem. Sous la restauration des institutions, ces pratiques sont à bannir.
Etant entendu que cet argent issu du budget 2024 est désormais disponible, nous, organisations des entreprises de presse privée, exigeons le paiement, dans les plus brefs délais, de cette manne aux ayants droit.
Enfin, Principal concepteur de la restauration des institutions et de la dignité des gabonais et de la presse au Gabon, nous sollicitons très humblement l’arbitrage du chef de l’État sur ce dossier.
Fait à Libreville, le 28 décembre 2024
Pour l’Opam
Pour le CPPL
Pour UPPIG
Pour RENAJI
Pour UGPSus avons appris au journal de 20h, du 27 décembre 2024 de la chaîne de télévision publique Gabon Première, une communication émanant du ministère de la communication et des médias invitant les responsables des entreprises de presse, à aller déposer du 2 au 12 Janvier 2025, à la porte 106 dudit ministère, les dossiers relatifs à la subvention de l’État à la presse écrite et en ligne, édition 2024.
Nous tenons d’abord à remercier très sincèrement le Président de la transition, Président de la République, chef de l’État, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, pour s’être impliqué personnellement dans ce dossier d’aide de l’État à la presse privée, en revalorisant, par quatre, ce soutien qui existe depuis 2003, mais que le régime déchu avait baissé à 127 millions de nos francs.
Cependant, les organisations des entreprises de presse suivantes: ( Opam, CPPPL, UPPIG, UGPS, RENAJI), fustigent le fait qu’à chaque année, la tutelle ministérielle crée toujours des nouveaux critères d’attribution de cette subvention.
En effet, les organisations citées plus haut ne comprennent pas qu’un même ministère, dans le cadre de l’Organisation du dialogue national inclusif et récemment pour la couverture de la campagne référendaire de novembre dernier, accrédite, sur la base des documents de création d’une entreprise de presse, les journaux, et que ce même ministère, un mois plus tard, exige de nouveaux critères à ces mêmes organes de presse lorsqu’il s’agit de la subvention de l’État à la presse privée. Question: une institution peut-elle accréditer aux grands événements, un organe de presse qui n’est pas en règle?
En exigeant, par exemple, la carte de presse dans ce dossier, nous notons que depuis la mise en place du gouvernement de la transition, le ministère de la communication et des médias n’a délivré aucune carte de presse à un professionnel des médias. Alors, une administration peut-elle exiger un document qu’elle n’a jamais délivré?
Sur les journaux sanctionnés par la Hac qui seraient exclus de la subvention. Nous disons qu’un journal qui a subi une suspension avec des conséquences financières que cela engendre, ne peut pas être sanctionné pour une même faute alors qu’il a purgé sa peine.
Les organisations de la presse libre et indépendante pensent que ce critère, à lui seul, constitue une atteinte grave et flagrante à la liberté de la presse. Nous ne pensons pas que la volonté du président de la République soit de museler la presse. Bien au contraire, sa volonté est celle de restaurer la dignité de la presse gabonaise, et il l’a réitéré moult fois.
Sur le plan d’utilisation des fonds, la régularité des organes de presse est la meilleure preuve que lesdits fonds ont contribué à accompagner les entreprises de presse dans leur fonctionnement pendant toute l’année 2024..
Nous pensons que la Kyrielle de critères imposés par le ministère de la communication fait partie des méthodes dilatoires utilisées comme prétexte pour ne pas payer la subvention à temps, ainsi que le souhaite le Président de la République.
Car sur le plan pratique, la subvention à la presse est déjà disponible au Trésor public et cette administration ne demande plus que les relevés d’identité bancaire des entreprises de presse bénéficiaires de cette manne. Or, la tutelle prend 10 jours pour le seul dépôt des dossiers des demandeurs. Il y aura certainement encore plusieurs jours pour la tenue des travaux de la fameuse commission chargée de la répartition de cette subvention. C’est trop long pour une aide que la presse attend depuis plusieurs mois.
Nous rappelons que cette subvention appartenant exclusivement aux entreprises de presse, aucune autre entité ne doit bénéficier de cette dernière en guise de per diem. Sous la restauration des institutions, ces pratiques sont à bannir.
Etant entendu que cet argent issu du budget 2024 est désormais disponible, nous, organisations des entreprises de presse privée, exigeons le paiement, dans les plus brefs délais, de cette manne aux ayants droit.
Enfin, Principal concepteur de la restauration des institutions et de la dignité des gabonais et de la presse au Gabon, nous sollicitons très humblement l’arbitrage du chef de l’État sur ce dossier.
Fait à Libreville, le 28 décembre 2024
Pour l’Opam
Pour le CPPL
Pour UPPIG
Pour RENAJI
Pour UGPS