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Faits Divers

Mitzic: un élève de terminale poignardé à mort par l’ex jaloux de son amie

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La nuit du mardi 7 mars 2023 restera comme une des nuits les plus sombres dans les mémoires des habitants de Mitzic. Durant cette nuit, Matić, élève en classe de terminale en plein baccalauréat blanc provincial, a été retrouvé mort, poignardé avec une barbarie moyenâgeuse.

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D’après une source proche du défunt qui a requis l’anonymat, l’histoire prendrait sa source quelques mois avant. Lorsque, arrivé sur Mitzic pour poursuivre ses études, Matić va se lier d’amitié à une fille alors que celle-ci sortait d’une relation avec un partenaire réputé agressif, Boucharelle A.N, fils d’un surveillant au lycée public Moïse NKOGHE MVE de Mitzic.

Des jours avant le malheureux événement, Boucharelle, refusant d’accepter la rupture et harcelant toujours la jeune fille, en serait venus aux mains avec Matić. Après cet incident, il aurait déclaré «Matić a le manquement, mais ça ne va pas s’arrêter là, il verra. S’il pense que la bagarre là est finie, il ment», en guise de ce qui ressemble à une préméditation.

Pendant la journée macabre du 7 mars 2023, après l’épreuve d’histoire géographique du Baccalauréat blanc qui était alors en cours, l’ex jaloux aurait demandé à Matić de se parler dans le but de régler le différent de manière pacifique. Celui-ci lui demandera d’aller chez lui, pas très loin et de l’attendre le temps qu’il change ses vêtements.

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De retour de la chambre, Boucharelle A.N, rancunier et jaloux, lui aurait asséné un coup avec une bouteille sur la tête, avant de continuer, à l’aide d’un couteau, sur le corps déjà étalé de Matić, d’asséner des coups.
Poussé par un instinct de survie, la malheureuse victime trouvera la force de courir, le corps troué, jusqu’au premier bar après le lieu sinistre où est située son habitation, criant «aidez-moi ! Aidez-moi !»

La brigade de gendarmerie serait venue simplement constater le décès. Aussi, faisant preuve de promptitude, le procureur de la ville d’Oyem, s’est saisi de l’affaire et a ouvert une enquête. Au moment de la mise en ligne de cet article, plusieurs personnes continue d’être entendues et le présumé coupable Boucharelle A.N a été identifié et arrêté hier aux environs de 10 heures par les services compétents.

Aujourd’hui, celui-ci serait passé aux aveux, mais refuserait pourtant de livrer ses complices. Car selon les éléments de gendarmerie et les témoignages populaires, le jeune homme aurait été incapable de faire ce coup tout seul. Connaissant sa victime et surtout l’issue de leur précédente bagarre, il aurait eu recours à de l’aide pour ce qui est son “retour”. Mais pour le moment, il reste muet comme une tombe sur ce sujet.

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Port-Gentil /Terrain à plusieurs propriétaires: incarcérée pour escroquerie 

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Au Gabon l’on n’en finit pas de s’insurger des histoires de terrains aux multiples propriétaires. La plaine d’Ayeme, dans la commune de Ntoum en est un illustre exemple.  Si de nombreuses affaires seraient en cours selon des sources bien informées de la localité, à Port-Gentil, le parquet vient d’acter l’incarcération de dame Eugénie K. NDJIMBI, à la prison du château, pour escroquerie et abus de confiance, précise “L’Union”. Ce, après avoir vendu sa parcelle, sise au quartier Trois Filaos à de nombreux individus dont elle percevait des sommes d’argent.

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Yann O. (34 ans), Larry D. (49 ans), Valérie M.M. (49 ans) et Rodrigue B (43 ans) tous des gabonais, qui auraient versé d’importantes sommes d’argent à la propriétaire du terrain. Pour tous les acquéreurs convaincus d’être les nouveaux propriétaires jusque-là tout allait bien. Jusqu’à ce que le dernier cité décide d’entreprendre des travaux sur son acquisition, mais se retrouve nez à nez avec un autre, se présentant comme propriétaire.

Dès lors, une plainte est déposée contre la vendeuse, qui a été rapidement interpellée par les éléments de la police judiciaire, avant d’être présentée devant le parquet de la ville, qui l’a placée sous mandat de dépôt pour escroquerie. Il est à croire que les sanctions appliquées contre les auteurs de ces agissements ne sont pas assez sévères. Car les récidivistes semblent ne plus avoir crainte des autorités judiciaires et vendent même des biens qui ne leur appartiennent pas aux éléments de forces de l’ordre, les impliquant dans des agissements illégaux. 

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Akanda /Viol en réunion d’une élève du lycée Mbélé: tout ne serait qu’un mensonge !

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On le dira jamais assez, la jeunesse se livre à des délits en tous genres dont ils ne soupçonnent ni la portée, encore moins les conséquences. Les internautes avaient été émus par l’affaire du viol d’une jeune lycéenne inscrite en classe de terminale, au lycée Mbélé d’Angondjé. Suivant des versions reprises de la famille de la prétendue victime, le forfait qui se serait produit dans la nuit du 30 au 31 mai 2024, aurait été commis par une bande de 10 garçons, qui ne seraient autres que ses condisciples de classe, menés par l’un d’eux, fils d’un haut gradé de l’armée.

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C’est au terme d’une enquête menée par les services de forces de police nationale, et la pression exercée par sa mère, que la jeune fille de 16 ans va revenir sur sa version. Laquelle révèle que s’étant rendue à une fête avec ses condisciples de classe, la jeune adolescente aurait consommé de l’alcool et d’autres substances. Avant de passer la nuit chez l’hôte de la soirée, d’où elle sortira dès les premières lueurs du jour, pour se rendre chez un de ses beaux-frères, au lieu-dit Premier campement, révèle “L’Union”.

Retrouvée dans les environs, elle aurait alors «menti», selon un source judiciaire citée par le quotidien, à ses parents, qui ont immédiatement répandu la version de leur enfant sur la toile. Où, l’identité de l’officier supérieur avait même été réclamée, puis dévoilée, alors que les internautes exigeaient que son fils et ses complices soient arrêtés et incarcérés. Notamment à l’évocation des prétendues intimidations par lesquelles l’homme des corps habillés se serait illustré vis-à-vis de la famille de la jeune fille.

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C’est donc la réputation d’un établissement, d’un jeune, d’une famille qui auraient été entachées par un individu, qui aurait simplement choisi de ne pas assumer la responsabilité de ses actes. Une affaire qui nous rappelle bien l’importance de se rapprocher des services compétents avant de choisir de rendre publiques les identités des personnes prétendument impliquées dans une affaire. Au risque de les exposer en vain.

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Libreville: il meurt d’un coup de ciseaux dans la poitrine

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Encore une victime de la violence des jeunes. La semaine écoulée aura emporté avec elle la vie d’un jeune homme de 20 ans, cruellement enlevé à l’affection des siens par un de ses camarades à l’aide d’une paire de ciseaux. Ce dernier n’aurait pas supporté de le voir dominer son compagnon de classe, lors d’une “bagarre”.

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Qu’est donc devenu le fait d’ôter la vie à un être humain, pour les jeunes gabonais? Le quartier Derrière-la-prison a été le cadre d’une scène qui traduit la banalisation du meurtre chez nos jeunes. Devant le collège Frère MACAIRE, où deux jeunes élèves se livrait à une bagarre, la victime aurait pris le dessus sur son adversaire. Ce qui n’aurait pas plus à un troisième homme, devoir son camarade se faire dominer.

Il aurait donc sorti une paire de ciseaux, qu’il aurait planté en pleine poitrine de “l’ennemi de son ami”. Sous le regard hagard de nombreux badauds. Le jeune, blessé, saigne abondamment, affaibli, il s’écroule, pour ne plus jamais se relever. Ce, malgré l’intervention rapide du SAMU social arrivé en urgence sur le lieu du drame. Et les deux hommes (l’agresseur et son poulain), ont été interpellés, rapporte “L’Union”.

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Encore une histoire de crime à l’école, une de plus, dira-t-on. Mais quand serait-ce la dernière pour cette génération qui crée l’angoisse dans le coeur des parents qui ont désormais peur d’“abandonner” leurs enfants à l’école? Cette école pour laquelle les populations ont longtemps appelé à l’instauration d’une police scolaire. Mais il semble que la liste des élèves décédés et même des familles meurtries ne soient pas encore assez longues pour permettre que cette gangrène soit réellement prise en compte.

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