Faits Divers
Gabon: la collision entre un train et un pick-up fait un blessé grave
Dans un communiqué publié par la Société d’exploitation du Trangabonais (SETRAG), l’on apprend que ce 16 octobre 2022, à Nkoltang, une bourgade située à 26 kilomètres à l’Est de Libreville, la capitale du pays, un train de service, ralliant Owendo, a violemment percuté un pick-up, faisant un blessé grave.
En effet, selon ledit communiqué, en application de la procédure, le train s’est annoncé par plusieurs coups de klaxon, indiquant aux automobilistes l’obligation de marquer l’arrêt devant le panneau stop pour laisser passer le convoi. Cependant, l’un des automobilistes n’a pas voulu marquer et l’arrêt et a tenté de traverser le passage à niveau.
Le conducteur du train a tiré sur le frein d’urgence mais, hélas, cette action n’a pu éviter la collision. L’automobiliste, qui était seul à bord de son véhicule, a été transporté aux urgences. Alertés, les gendarmes se sont rendus prestement sur les lieux.
Cet énième sinistre vient rappeler l’importance du message véhiculé par la campagne de sensibilisation « Ne te mesure pas au train », menée par SETRAG qui, par la même occasion, « déplore les comportements imprudents de certains automobilistes et rappelle l’importance du respect des règles de circulation en coactivité usagers – trains, reprises lors des campagnes de sensibilisation sur les risques ferroviaires menées chaque année le long de la voie ferrée », ajoute le texte.
Par ailleurs, l’on se souvient que le 03 février 2014, soit 8 ans aujourd’hui, toujours à Nkoltang, un véhicule ayant à son bord, un père, ses cinq enfants et le fils du voisin, avait été percuté par un train de marchandises, tuant tous les passagers. Depuis 6 ans, les travaux du Programme de remise à niveau (PRN) du chemin de fer, ayant pour objectif le remplacement de rails et de traverses en bois par celles en béton, sur 647 kilomètres d’Owendo à Franceville, crée une intense activité pour les trains. Des panneaux et des équipes préviennent, régulièrement, des risques encourus.
Faits Divers
Zita OLIGUI aux côtés de la famille de « la petite Esther »
La Première Dame du Gabon, Zita OLIGUI NGUEMA, a rendu une visite de compassion à la famille de la petite Esther Ludivine MOUSSAVOU EYANG MBA, victime d’un crime odieux. Lors de cette rencontre, elle a exprimé sa profonde sympathie et son soutien indéfectible aux parents de la victime.

« En tant que mère, j’ai tenu à être aux côtés de ses parents pour leur exprimer ma profonde compassion et leur assurer mon soutien« , a-t-elle déclaré. Réaffirmé sa volonté que justice soit rendue dans toute sa vérité et sa rigueur.
Elle a souligné l’importance de protéger les enfants et de prendre des mesures pour prévenir de tels actes. « Protéger nos enfants est une responsabilité collective. Nous devons agir ensemble pour préserver notre humanité et défendre l’avenir de notre pays« , a-t-elle ajouté.

La Première Dame a conclu en exprimant sa tristesse et sa solidarité envers la famille de la victime. «Ma petite Esther, ton nom restera à jamais gravé dans nos cœurs», a-t-elle dit. Cette visite est un signe de son engagement à soutenir les familles touchées par de tels drames et à promouvoir la protection des enfants au Gabon.
Faits Divers
Nyanga: Un fantôme tourmente les populations d’Ibinga
Les habitants du quartier Ibanga, situé dans la commune de Tchibanga, vivent dans la tourmente depuis quelques jours. Selon des informations relayées par TV+ Afrique, une présence surnaturelle serait ressentie par certains résidents du quartier, principalement la nuit. Cette situation a provoqué panique et affolement dans la zone.
Le couple Prince et Claudette serait le plus affecté par ces événements étranges. Prince a raconté une expérience choquante, affirmant avoir été bloqué et avoir ressenti la présence de quelqu’un dans la chambre sans voir personne. Selon lui et sa conjointe, le revenant aurait même révélé son identité et affirmé être à la recherche d’une femme du quartier.
Face à ces manifestations inexplicables, Prince et Claudette ont alerté les notables d’Ibinga. Ces derniers ont convoqué la présumée femme recherchée par le spectre, qui a nié toute implication et contesté les accusations.
La chronique continue de faire peur aux habitants de ce quartier, qui restent plongés dans le tourment et l’angoisse face à cette aventure mystérieuse. Les résidents sont inquiets et attendent des solutions pour mettre fin à ces perturbations.
Faits Divers
Libreville: 12 ans de prison ferme & 10 millions de Fcfa d’amende pour avoir tué son ami
Placé en détention préventive depuis plusieurs années, pour avoir assassiné son ami, la Cour criminelle a rendu son verdict concernant l’affaire du meurtre de Bertrand Hugues EVOUNG OBIANG, commis en 2019, à Libreville, par son ami, Ulrich Parfait EKOMY NDONG âgé de 26 ans. Le mis en cause en prend pour 12 ans de prison ferme, assortis d’une amende de 10 millions de Fcfa.
En effet, les faits se sont déroulés lors d’une altercation entre les deux amis qui s’est rapidement transformée en violente bagarre. Selon les déclarations du condamné à la barre, recueillies par nos confrères de « l’Union », l’accusé a agi en légitime défense. Il a affirmé qu’après avoir vu son ami brandir des bouteilles cassées, prêt à les utiliser contre lui, il s’est senti en danger de mort.
Pour lui faire face, il est retourné chez lui s’en saisir d’un couteau, avec lequel il a poignardé BHEO au niveau du torse, avant de prendre la fuite. Poursuivi en justice pour meurtre par les membres de la famille de la victime, un délit passible d’une peine maximale pouvant atteindre 30 ans de réclusion, conformément à l’article 233 du Code pénal.
Les investigations faites par les Officiers de Police judiciaire (OPJ), ont rapidement permis d’identifier et de neutraliser le meurtrier. Dans ses réquisitions, le ministère Public a reconnu la matérialité des faits. Tout en demandant que soit reconnue la culpabilité d’Ulrich Parfait en homicide volontaire, insistant sur la gravité de l’acte, l’a condamné à 12 ans de prison ferme, assortis d’une amende de 10 millions de Fcfa.








