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Société/Environnement

Libreville /Interdiction des contrôles routiers: ces “brebis galeuses” qui tiennent tête au cochef

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Chasser le naturel, il revient au galop. Ce dicton se confirme avec le comportement des gendarmes qui témoigne de l’irrespect de ces derniers tant envers le commandant en chef de ce corps d’armée, que du président de la République lui-même. En effet, il semble que «les brebis galeuses» de la gendarmerie, comme les a nommé le chef des armées, Ali BONGO ONDIMBA, de la gendarmerie fassent de la résistance. L’opinion attend maintenant de voir ce que va faire le général de brigade Yves BARASSOUGA à leur endroit d’autant qu’elles nuisent à la réputation du corps d’armée dont il a la charge.

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Le jeudi 24 août 2022, le Commandant en Chef de la Gendarmerie nationale (Gena), Yves BARASSOUGA annonçait l’interdiction jusqu’à nouvel ordre des contrôles de ses hommes dans le Grand Libreville. Mais si elles ont salué haut la main cette bonne nouvelle, les populations ont vite déchanté. Les mauvaises habitudes ont la dent dure, dit un vieil adage. Constat de terrain quelques jours après l’annonce du commandant en chef, les gendarmes continuent les contrôles sur les usagers de la route dans le grand Libreville. Toute résistance d’un usager interpelé étant notamment sanctionné par la confiscation des papiers et l’embastillement.

Le 26 août 2022, à peine deux jours plus tard, à 14h, la gendarmerie faisaient le contrôle au niveau du Collège d’enseignement secondaire (CES) de mindoubé 2. Le 27 août 2022, au carrefour jouxtant la Sobraga à Owendo, deux gendarmes contrôlaient tout véhicule qui passait par-là. «Ils allaient jusqu’à dire qu’ils sont l’aéroport, donc ils s’en foutte des instructions du président de la République», nous a relaté une victime. Les exemples sont légion.

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Mais l’on notera que d’entrée, l’erreur dans le mot d’ordre du général de brigade Yves BARASSOUGA a été de limiter l’interdiction des contrôles par les gendarmes au seul grand Libreville. De fait, le racket est omniprésent sur les routes. Déjà, que nombre de gendarmes affichent leur ignorance quant à la délimitation administrative du grand Libreville. Et considèrent que Ntoum et le Cap-Esterias, pour ne citer que ces exemples, ne font pas partie du grand Libreville. À Gamba, dans l’Ogooué-Maritime, les agents de la brigade nautique rackettent à longueur des journées les populations du département de Ndougou.

En somme, les populations avaient bien raison d’être septiques. Approché sur la question par nos confrères de Gabon review au lendemain de l’annonce du général Yves BARASSOUGA, un taximan avait répondu : «Ce n’est pas la première fois qu’on a une interdiction des contrôles. Mais quelques semaines après ça revient et le racket est encore plus intense», tout en demandant aux Commandements de la Police et de la Gendarmerie «de trouver des stratégies pour punir sévèrement les agents véreux».

MEZ

Société/Environnement

Franceville /1er arrondissement: l’honorable Willy Bertrand ABIERI aux contact des siens

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À l’issue du référendum 2024, sur la nouvelle Constitution de notre pays, l’honorable Willy Bertrand ABIERI, député de Transition du premier arrondissement de Franceville, dans le Haut-Ogooué, a profité de l’occasion pour renforcer les liens avec ses concitoyens. Ce mardi 19 novembre, il s’est rendu dans son quartier natal, Potos, accompagné des notables de l’arrondissement, afin de rencontrer ses frères et sœurs et de partager un moment de fraternité .

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Lors de son intervention, il a évoqué la spécificité de sa position à l’Assemblée nationale de Transition. Bien que nommé par le P résident de Transition, il a précisé que son mandat prendra fin avec la conclusion de la période de transition. Véritable homme d’action, il a réaffirmé sa détermination à ne pas rester insensible aux défis auxquels sont confrontés les plus démunis. Dans cette optique, il a annoncé la création d’une cellule de réflexion chargée de répondre de manière concrète et pragmatique aux besoins de la population locale, afin de proposer des solutions adaptées aux réalités du terrain.

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Contribution carbone: le Gabon à oeil sur le projet

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Le Président de la République, le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA s’est entretenu ce jour au Palais Rénovation avec une délégation conduite par madame Scyrielle SENDE ETALI, Directrice générale adjointe du Fonds Gabonais D’investissement stratégique (FGIS).

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Au cours de cet échange, il a été question de définir un cadre juridique permettant à l’État Gabonais de percevoir une « contribution carbone » de la part des compagnies aériennes et maritimes en transit dans notre pays. Cette initiative s’inscrit dans une volonté de renforcement des politiques environnementales nationales.

En travaillant de concert avec les partenaires djiboutiens venus apporter leur expertise dans l’élaboration de ladite contribution, le Gabon espère rapidement établir les bases légales de ce projet.

En effet, cette contribution, issue du principe « pollueur payeur » appliquée en Europe, sera désormais reversée à notre pays grâce à la mise en place de cette législation.

L’État gabonais aspire ainsi à percevoir les fonds correspondant aux émissions polluantes générées par les compagnies opérant sur son territoire.

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Libreville/ lutte contre l’insalubrité: l’Association des jeunes d’Alibadeng à pied œuvre pour un 1er arrondissement plus propre

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Un mois après la première opération nettoyage, l »Association des jeunes d’Alibadeng » remet le couvert pour une deuxièmement campagne d’assainissement de ce quartier situé dans le 1er arrondissement de la capitale gabonaise. Conduite par sa présidente Marika RASHIWA, l’association a, samedi 09 novembre 2024, arpenté les rues, les recoins et les mapanes dudit quartier afin de le rendre un peu plus « Clean » que le mois dernier. Et ceci, à la grande satisfaction des riverains.

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Manches retroussées, en mains on y distinguaient: brouettes, pelles, râteaux et balais. Les membres de l’association n’ont pas ménagé leurs efforts pour faire d’Alibadeng l’une des vitrines de la politique de « Lutte contre l’insalubrité » chère au Président de la Transition, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA. L’équipe a ainsi nettoyée ses différentes zones d’Alibadeng, le Carrefour Imagin et le Carrefour la Pompe, en passant par le Transfo, et se terminant à la Cité des Marins.   Cet acte de civisme effectué par ces jeunes citoyens n’a pas laissé les résidents de ces différents endroits  insensibles.

«Lors de cette opération, la Présidente de l’Association Marika RASHIWA a pris le temps d’échanger avec les résidents de la zone, en présentant les missions de l’association. Les habitants, enthousiastes face à cette initiative citoyenne, ont exprimé leur soutien, soulignant l’importance de prolonger ce type d’action pour améliorer la propreté du quartier», peut-on lire dans un communiqué envoyé à la rédaction de Vox populi 241 (Vxp241).

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Avant d’ajouter, «Certains, touchés par l’impact positif de cette activité, ont même manifesté leur intérêt pour rejoindre l’association».

Pour rappel, ce mouvement associatif composé de jeunes épris de patriotismes, organise, au moins, une fois par mois chaque mois une opération nettoyage dans leur quartier principalement au 1er siège dudit arrondissement.

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