Faits Divers
Un nigérian “au-dessus des lois” jette une famille gabonaise à la rue

Opposée à un sujet nigérian, La famille BOUGUENGUILI a vue son habitation entièrement détruite au quartier Alibandeng, dans le premier arrondissement de Libreville. Au micro de nos confrères de “Nour TV”, l’un des héritiers explique qu’en 2014, un dénommé MIKOTO va soumettre au patriarche BOUGUENGUILI un projet d’achat de parcelle. Réunissant ses trois enfants légitimes, feu BOUGUENGUILI leur expose la situation et procède notamment au morcellement de son terrain pour donner une parcelle à chacun d’entre eux. La dernière partie non morcelée sera, elle, vendue au tiers emmené par sieur MIKOTO. Le patriarche mourra quelques temps plus tard.
En 2017, soit 3 ans plus tard, un sujet nigérian se présente aux héritiers BOUGUENGUILI en prétendant être le propriétaire légal des lieux. Il dit posséder un titre foncier en bonne et due forme. Toute affirmation que rejettent en bloc les héritiers de feu. De fait, la maison familiale bâtie sur le terrain a plus de trente ans d’existence. Devant le refus des enfants de se laisser ravir leur héritage, le sujet nigérian va entamer une campagne d’intimidation. Entre convocation devant des juridictions compétentes et autres sommations de libérer. Mais les héritiers de feu BOUGUENGUILI ne cèdent pas et tiennent plutôt ferme.
C’est alors que le 12 juillet 2022, un bulldozer sécurisé par une escouade de policiers descend sur les lieux. Les policiers tiennent en respect le fils aîné BOUGUENGUILI qui ne peut entrer dans la maison pour récupérer quelque effet. La maison est vidée de tout son mobilier. Avant d’être totalement démolie par l’engin. Pour toute explication, les enfants BOUGUENGUILI se laissent entendre dire que leur action serait ordonnée par le ministère de l’Intérieur et le procureur de la République. Ainsi a pris forme la menace du sujet nigérian qui aurait balancé au visage des héritiers BOUGUENGUILI qu’il serait «au-dessus des lois gabonaises» (sic). Le fils aîné sera molesté, menacé et jeté à l’arrière du camion de police pour avoir opposé une résistance.
Aujourd’hui, cette famille vit à la belle étoile et ne sait plus à quel saint se vouer. Sans ressource, au chômage, n’ayant nulle part où aller. Rongés par un fort sentiment d’injustice, les héritiers BOUGUENGUILI, ainsi exposés à l’insécurité et à la famine, en appellent à l’intervention en leur faveur du président de la République. Et invitent les populations gabonaises à plus de vigilance. Ces derniers temps, en effet, les litiges fonciers opposant des gabonais à des expatriés font la une de l’actualité sociale. Vivement le rappel à l’ordre général des pouvoirs publics.
MEZ
Faits Divers
Nyanga: Un fantôme tourmente les populations d’Ibinga

Les habitants du quartier Ibanga, situé dans la commune de Tchibanga, vivent dans la tourmente depuis quelques jours. Selon des informations relayées par TV+ Afrique, une présence surnaturelle serait ressentie par certains résidents du quartier, principalement la nuit. Cette situation a provoqué panique et affolement dans la zone.
Le couple Prince et Claudette serait le plus affecté par ces événements étranges. Prince a raconté une expérience choquante, affirmant avoir été bloqué et avoir ressenti la présence de quelqu’un dans la chambre sans voir personne. Selon lui et sa conjointe, le revenant aurait même révélé son identité et affirmé être à la recherche d’une femme du quartier.
Face à ces manifestations inexplicables, Prince et Claudette ont alerté les notables d’Ibinga. Ces derniers ont convoqué la présumée femme recherchée par le spectre, qui a nié toute implication et contesté les accusations.
La chronique continue de faire peur aux habitants de ce quartier, qui restent plongés dans le tourment et l’angoisse face à cette aventure mystérieuse. Les résidents sont inquiets et attendent des solutions pour mettre fin à ces perturbations.
Faits Divers
Libreville: 12 ans de prison ferme & 10 millions de Fcfa d’amende pour avoir tué son ami

Placé en détention préventive depuis plusieurs années, pour avoir assassiné son ami, la Cour criminelle a rendu son verdict concernant l’affaire du meurtre de Bertrand Hugues EVOUNG OBIANG, commis en 2019, à Libreville, par son ami, Ulrich Parfait EKOMY NDONG âgé de 26 ans. Le mis en cause en prend pour 12 ans de prison ferme, assortis d’une amende de 10 millions de Fcfa.
En effet, les faits se sont déroulés lors d’une altercation entre les deux amis qui s’est rapidement transformée en violente bagarre. Selon les déclarations du condamné à la barre, recueillies par nos confrères de « l’Union », l’accusé a agi en légitime défense. Il a affirmé qu’après avoir vu son ami brandir des bouteilles cassées, prêt à les utiliser contre lui, il s’est senti en danger de mort.
Pour lui faire face, il est retourné chez lui s’en saisir d’un couteau, avec lequel il a poignardé BHEO au niveau du torse, avant de prendre la fuite. Poursuivi en justice pour meurtre par les membres de la famille de la victime, un délit passible d’une peine maximale pouvant atteindre 30 ans de réclusion, conformément à l’article 233 du Code pénal.
Les investigations faites par les Officiers de Police judiciaire (OPJ), ont rapidement permis d’identifier et de neutraliser le meurtrier. Dans ses réquisitions, le ministère Public a reconnu la matérialité des faits. Tout en demandant que soit reconnue la culpabilité d’Ulrich Parfait en homicide volontaire, insistant sur la gravité de l’acte, l’a condamné à 12 ans de prison ferme, assortis d’une amende de 10 millions de Fcfa.
Faits Divers
Ngounié : Une baignade mortelle à la rivière Biroundou

Les habitants de Lébamba, chef lieu du département de louétsi-wano sont touchés par le drame qui s’est passé, ce 24 Juin 2025 au sein de leur localité. Le décès brusque d’une compatriote âgé d’une trentaine d’années Bénédicte LÉKOSSI plus connue sous le pseudonyme “maman béné” qui a trouvé la mort pendant sa baignade dans la rivière Biroundou.
Les faits se sont déroulés aux alentours de 8h30, la concernée qui a une réputation de grande cultivatrice et commerçante, s’est rendu à la rivière pour y faire sa lessive, accompagnée de ses deux enfants de bas âges. À la fin de celle-ci, la jeune dame a décidé de prendre un bain, quand vient le moment de se rincer, les personnes présentes l’ont vu s’écrouler de la tête aux pieds dans l’eau. Propos révélés par une source proche du dossier au micro de nos confrères de « l’union ».
Malgré le transport de cette dernière par des personnes présente, lors du drame à la clinique de Bongolo, le personnel médical ne fera que constater le décès. D’après l’expertise de l’équipe médicale, elle est morte après sa chute dans l’eau. Aucun signe de violence n’a été aperçu sur le corps de “maman béné” que les habitants du même quartier ont vu vendre son manioc à la veille au marché municipal.
Toujours étant douce, calme et souriante de son vivant, la jeune compatriote s’en est allée, laissant 5 enfants désormais orphelins de mère. À la suite de cette triste fin, la brigade locale de la gendarmerie sont actuellement en pleine enquête pour déterminer les raisons de ce décès.