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Afrique

Drame de Melilla: l’Espagne décline toute responsabilité et accuse le Maroc

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Le 24 juin 2022, une trentaine de migrants africains perdait la vie à Melilla, aux frontières du Maroc et de l’enclave espagnole. Ce jour-là, ils étaient environ 2000 personnes à tenter d’entrer par la force dans l’enclave espagnole sise sur le sol Marocain. Le bilan officiel de cette tragédie, la plus lourde jamais enregistrée dans la région, n’est pas encore connu. Mais déjà, se pose la question de la violation des Droits de l’Homme dans cette affaire. Selon l’ONG Human Rights Watch (HRW), tel que rapporté par BFMTV, «des images diffusées plusieurs heures après ont mis au jour des actes de brutalité, avec des corps jonchant le sol, des policiers marocains assénant des coups et les forces de l’ordre espagnoles tirant des gaz lacrymogènes sur des hommes accrochés à des grillages». Dans un entretien accordé au quotidien El pais, le premier ministre espagnol Pedro SANCHEZ a rejeté toute responsabilité sur le Maroc. «C’est le gouvernement du Maroc qui devrait répondre à cette question. Le Maroc défend des frontières qui ne sont pas les siennes mais celles de l’Espagne». Pedro SANCHEZ a toutefois nuancé son assertion, reconnaissant les difficultés
Il a toutefois immédiatement nuancé son propos en disant «reconnaître l’effort que fait le Maroc, qui souffre d’une pression migratoire, pour défendre des frontières qui ne sont pas les siennes mais celles de l’Espagne» et évoquant la «solidarité» dont doivent faire preuve selon lui l’Espagne et l’Europe vis-à-vis du Maroc. Brandissant à nouveau l’argumentaire selon lequel une mafia tirerait les ficelles depuis le début de cette affaire, le premier ministre espagnol a clos son propos en souhaitant que Melilla soit «le dernier épisode d’une tragédie qui a commencé bien avant, à plusieurs kilomètres de là», parlant de nouveau d’une attaque violente, avec des hommes «armés», et d’un évènement orchestré par les «mafias».

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Afrique

OLIGUI NGUEMA au Caire pour une visite de travail

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Après avoir séjourné en Belgique dans le cadre d’une visite de travail avec les instances de l’Union Européenne (UE), le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, est arrivé ce 28 novembre 2024, au Caire en Égypte.

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Ce déplacement du Président de la République en Egypte s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations de coopération bilatérales entre le Gabon et l’Égypte.

Cette visite du Chef de l’État qui témoigne de l’excellence des relations entre nos deux nations, sera également l’occasion de discuter des questions de développement et d’intérêts communs.

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Afrique

50 ans d’indépendance de Guinée Bissau: OLIGUI NGUEMA prend part aux festivités

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Invité par son homologue Bissau-Guinéen, le Président de la Transition, le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a pris part ce jour à l’Avenue Amilcar Cabral à la célébration du 50ème anniversaire de l’accession à la magistrature suprême de la République de Guinée Bissau.

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Cette commémoration a vu la participation de plusieurs Chefs d’État, de leaders politiques, du corps diplomatique, des organismes internationaux et d’anciens leaders et dirigeants qui ont marqué l’histoire de ce pays ami.

Après les parades militaire, populaire et la revue des troupes marquant l’événement, le Général Umaro SISSOCO EMBALÓ a livré une adresse au peuple bissau-guinéen à travers laquelle il a rendu hommage aux héros de l’indépendance de la Guinée Bissau.

Au terme de cette cérémonie, le Président de la Transition a adressé ses félicitations à son Homologue pour l’organisation des festivités et s’est dit honoré par l’accueil qui lui a été réservé en terre bissau-guinéenne. Le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a par ailleurs saisi ces moments pour réitérer la volonté du Gabon de développer un partenariat actif avec la Guinée Bissau.

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Afrique

RCA: après 16 mois de détention un prisonnier français, libéré grâce à Ali BONGO

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Juan Rémy QUIGNOLOT a enfin pu regagner sa France natale dimanche 21 mai 2023. Après 16 mois de détention préventive à Bangui (RCA) où il avait été arrêté en mai 2021. L’interpellation de cet ancien militaire de 57 ans, était consécutive à la découvert, à son domicile, d’un important stock d’armes. Sous contrôle judiciaire depuis le 22 septembre 2022, avec interdiction de quitter le territoire centrafricain, Juan Rémy QUIGNOLOT a finalement pu s’en aller grâce à la diplomatie d’Ali BONGO ONDIMBA qui aura pesé de tout son poids dans ce dossier. Le Chef de l’État gabonais est d’ailleurs à l’origine de la remise en liberté du français 8 mois plus tôt. Parti de Bangui le mardi 18 mai dernier, Juan Rémy QUIGNOLOT a marqué une halte de deux jours à Libreville. Si rien n’a filtré de cette escale en terres Gabonaises, l’on imagine bien que l’ancien militaire français, que l’on dit «très éprouvé physiquement» en a profité pour remercier Ali BONGO ONDIMBA. Et pour cause. Approchée par nos confrères de l’AFP, Caroline QUIGNOLOT, la sœur de l’ancien militaire, a confirmé que le Président gabonais «a joué un rôle important dans sa libération», faisant office de «médiateur» entre Bangui et Paris.

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