Société/Environnement
Gabon /Retard d’établissement de passeports: la DGDI s’explique
Voilà plusieurs que les services de délivrance de passeport de la Direction générale de la documentation et de l’immigration (DGDI) connaissent des perturbations. Toute situation qui cause d’énormes désagréments aux usagers. Mais afin de tenter de rassurer ces derniers quant à l’amelioration des délais, la DGDI s’est fendue d’un communiqué le 13 mai 2022. Elle y explique que cette situation résulterait du souci de se « conformer aux engagements internationaux pris par notre pays dans le cadre de l’intégration sous-régionale de la zone CEMAC, parmi lesquels l’adoption du passeport CEMAC permettant une circulation plus fluide des citoyens de la sous-région, un basculement du passeport ordinaire national à un nouveau est en train de s’opérer« . Avant d’ajouter que « ce nouveau passeport, hautement plus sécurisé que celui en cours, répond aux exigences CEMAC et sera conforme aux dernières spécifications techniques de l’OACI sur les documents de voyage, tel que consigné dans son référentiel n°9303« . L’implémentation et le paramétrage de ce nouveau système perturbent depuis quelques semaines le bon déroulement des services, même s’ils s’attèlent à y remédier. Pour se faire, la DGDI travaille en étroite collaboration avec les équipes de la CEMAC, ce qui devrait permettre le retour à la normale dans les prochains jours. Et de préciser, en conclusion à l’adresse des détenteurs de l’actuel passeport biométrique ordinaire « que celui-ci demeure valable jusqu’à son expiration ».
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Société/Environnement
Gabon: Booster une marque internationale à la qualité irréprochable
Face aux allégations répandues sur les réseaux sociaux concernant la marque de boisson Booster, la Société des boissons rafraichissantes du Gabon (SOBRAGA) via un communiqué parvenu à notre rédaction, dément formellement tout ce qui se dit sur la toile et tient à rassurer les consommateurs. Ci-dessous l’intégralité du communiqué.
Société/Environnement
Hermann KAMONOMONO élu Président du Réseau Habitat et Francophonie
Hermann KAMONOMONO, Directeur Général de la Société Nationale Immobilière (SNI) du Gabon, a été élu à la tête du Réseau Habitat et Francophonie (RHF) par ses pairs lors de la 56ᵉ Assemblée générale de l’organisation, tenue le 10 novembre à l’Hôtel Manoir Victoria, Québec. Il succède au Belge Vincent SCIARRA, Directeur Général du Fonds du Logement de Wallonie, assurant ainsi une continuité dans l’engagement pour des politiques innovantes en matière de logement.
Créé en 1987, le Réseau Habitat et Francophonie (RHF) est une organisation internationale visant à faciliter l’accès à un logement sain, décent et financièrement abordable. Le RHF partage les valeurs d’humanisme et de solidarité propres à la Francophonie et poursuit principalement trois missions : échanger, proposer et agir pour un logement décent et abordable ; développer des partenariats, former et informer les professionnels du logement abordable ; et faire connaître et mieux comprendre le secteur du logement abordable à travers la recherche et la prospective.
Réunissant des experts et décideurs francophones, cette assemblée avait pour thème « Surmonter la crise du logement en mode solutions », soulignant les stratégies et initiatives nécessaires pour relever les défis globaux liés au logement.
Hermann KAMONOMONO, reconnu pour son expertise dans les questionsd’habitat et de logement, est également Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers du Gabon et Vice-président de l’Union Africaine des Promoteurs Immobiliers.
Son élection à la tête de RHF par ses pairs pour un mandat de 3 ans témoigne de la confiance placée en sa capacité à impulser une nouvelle dynamique pour le développement durable de l’habitat au sein de l’espace francophone.
Société/Environnement
85.000 femmes et jeunes filles tuées dans le monde en 2023
En 2023, au moins 85.000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde, dont 60% par «leur conjoint ou d’autres membres de leur famille». Soit 140 chaque jour ou une toutes les 10 minutes. Un «niveau alarmant» pour des meurtres qui pourraient pourtant être «évités», selon un rapport de l’Office viennois des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et de l’organisation new-yorkaise ONU femmes publié lundi 25 novembre.
Selon l’organisation mondiale, le phénomène «dépasse les frontières, touche toutes les catégories sociales et groupes d’âge». Les Caraïbes, l’Amérique centrale et l’Afrique sont les régions les plus touchées devant l’Asie. Les membres de la famille y sont le plus souvent en cause, tandis que sur le continent américain et en Europe, les féminicides sont majoritairement perpétrées par le partenaire. «La maison reste l’endroit le plus dangereux» pour les femmes.