Faits Divers
Mouila : au gnouf pour viol sur mineure de moins de 15 ans

Le 1er février 2022, Julien BIVEGHE, un compatriote de 34 ans, employé de BTP dans une entreprise privée, domicilié au quartier Bavanga, dans le 2ème arrondissement de la commune de Mouila, a été mis sous les verrous à la maison d’arrêt de la ville. Il est soupçonné de viol sur la dénommée R.M.M, une fillette âgée de 13 ans.
D’après le quotidien “L’Union”, qui relate l’affaire, les faits se seraient déroulés le 30 décembre 2021. Ce jour-là, R.M.M. demande la somme de 3 000 Fcfa à sa mère, pour se faire belle. Mais cette dernière aurait déclaré qu’elle n’a pas un sou en poche. Julien BIVEGHE, qui a assisté à toute la scène, aurait alors proposer de verser ladite somme d’argent.
Quelques temps après, aux alentours de 19h30, il aurait embarqué la fille de son voisin dans sa voiture et se serait éloigné du domicile familial. Parvenu à la hauteur d’une ruelle très peu éclairée, il aurait alors obligé l’enfant à avoir des relations sexuelles avec lui. Une fois sa libido satisfaite, il remettra les fameux 3 000 Fcfa à R.M.M. Celle-ci aurait choisi de garder le silence sur ce qui venait de se passer. Par honte ou crainte de représailles ?
Nul ne le sait pas vraiment. L’histoire aurait pu en rester là si, dans la nuit du 26 au 27 janvier 2022, le trentenaire indélicat n’avait pas essayé de rééditer son méfait. Mais, cette fois, l’adolescente lui aurait opposé une résistance farouche, tant et si bien qu’il a été pris en flagrant délit de tentative de viol par les parents de cette dernière.
Aussitôt, l’oncle de R.M.M. a déposé une plainte contre BIVEGHE au commissariat de police. Sentant qu’il aurait de gros ennuis, l’employé de BTP aurait, un moment, résidé à Libreville, histoire de se faire oublier pendant quelques temps. Mais c’était compter sans la détermination des policiers qui, dès son retour à Mouila, l’auraient cueilli comme un fruit mûr.
Soumis aux questions des enquêteurs, malgré les preuves accumulées contre lui, il niera les faits qui lui sont reprochés, soutenant qu’il n’a fait qu’utiliser ses doigts, sans pénétrer la fillette. Déféré devant le Procureur de la République près le tribunal de 1ère instance de Mouila, il a été placé en détention pour présomption de viol sur mineure de moins de 15 ans.
Faits Divers
Nyanga: Un fantôme tourmente les populations d’Ibinga

Les habitants du quartier Ibanga, situé dans la commune de Tchibanga, vivent dans la tourmente depuis quelques jours. Selon des informations relayées par TV+ Afrique, une présence surnaturelle serait ressentie par certains résidents du quartier, principalement la nuit. Cette situation a provoqué panique et affolement dans la zone.
Le couple Prince et Claudette serait le plus affecté par ces événements étranges. Prince a raconté une expérience choquante, affirmant avoir été bloqué et avoir ressenti la présence de quelqu’un dans la chambre sans voir personne. Selon lui et sa conjointe, le revenant aurait même révélé son identité et affirmé être à la recherche d’une femme du quartier.
Face à ces manifestations inexplicables, Prince et Claudette ont alerté les notables d’Ibinga. Ces derniers ont convoqué la présumée femme recherchée par le spectre, qui a nié toute implication et contesté les accusations.
La chronique continue de faire peur aux habitants de ce quartier, qui restent plongés dans le tourment et l’angoisse face à cette aventure mystérieuse. Les résidents sont inquiets et attendent des solutions pour mettre fin à ces perturbations.
Faits Divers
Libreville: 12 ans de prison ferme & 10 millions de Fcfa d’amende pour avoir tué son ami

Placé en détention préventive depuis plusieurs années, pour avoir assassiné son ami, la Cour criminelle a rendu son verdict concernant l’affaire du meurtre de Bertrand Hugues EVOUNG OBIANG, commis en 2019, à Libreville, par son ami, Ulrich Parfait EKOMY NDONG âgé de 26 ans. Le mis en cause en prend pour 12 ans de prison ferme, assortis d’une amende de 10 millions de Fcfa.
En effet, les faits se sont déroulés lors d’une altercation entre les deux amis qui s’est rapidement transformée en violente bagarre. Selon les déclarations du condamné à la barre, recueillies par nos confrères de « l’Union », l’accusé a agi en légitime défense. Il a affirmé qu’après avoir vu son ami brandir des bouteilles cassées, prêt à les utiliser contre lui, il s’est senti en danger de mort.
Pour lui faire face, il est retourné chez lui s’en saisir d’un couteau, avec lequel il a poignardé BHEO au niveau du torse, avant de prendre la fuite. Poursuivi en justice pour meurtre par les membres de la famille de la victime, un délit passible d’une peine maximale pouvant atteindre 30 ans de réclusion, conformément à l’article 233 du Code pénal.
Les investigations faites par les Officiers de Police judiciaire (OPJ), ont rapidement permis d’identifier et de neutraliser le meurtrier. Dans ses réquisitions, le ministère Public a reconnu la matérialité des faits. Tout en demandant que soit reconnue la culpabilité d’Ulrich Parfait en homicide volontaire, insistant sur la gravité de l’acte, l’a condamné à 12 ans de prison ferme, assortis d’une amende de 10 millions de Fcfa.
Faits Divers
Ngounié : Une baignade mortelle à la rivière Biroundou

Les habitants de Lébamba, chef lieu du département de louétsi-wano sont touchés par le drame qui s’est passé, ce 24 Juin 2025 au sein de leur localité. Le décès brusque d’une compatriote âgé d’une trentaine d’années Bénédicte LÉKOSSI plus connue sous le pseudonyme “maman béné” qui a trouvé la mort pendant sa baignade dans la rivière Biroundou.
Les faits se sont déroulés aux alentours de 8h30, la concernée qui a une réputation de grande cultivatrice et commerçante, s’est rendu à la rivière pour y faire sa lessive, accompagnée de ses deux enfants de bas âges. À la fin de celle-ci, la jeune dame a décidé de prendre un bain, quand vient le moment de se rincer, les personnes présentes l’ont vu s’écrouler de la tête aux pieds dans l’eau. Propos révélés par une source proche du dossier au micro de nos confrères de « l’union ».
Malgré le transport de cette dernière par des personnes présente, lors du drame à la clinique de Bongolo, le personnel médical ne fera que constater le décès. D’après l’expertise de l’équipe médicale, elle est morte après sa chute dans l’eau. Aucun signe de violence n’a été aperçu sur le corps de “maman béné” que les habitants du même quartier ont vu vendre son manioc à la veille au marché municipal.
Toujours étant douce, calme et souriante de son vivant, la jeune compatriote s’en est allée, laissant 5 enfants désormais orphelins de mère. À la suite de cette triste fin, la brigade locale de la gendarmerie sont actuellement en pleine enquête pour déterminer les raisons de ce décès.