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Faits Divers

Lambaréné: un ressortissant nigérian tue à la machette l’enfant de sa compagne, pour lui avoir refuser un enfant

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C’est suite à une dispute de couple à Remboué, dans la province du Moyenne l’Ogooué que Christophe EMEKA, un ressortissant nigérian âgé de 45 ans, aurait abattu le petit Emmanuel MVEZO EKO’O, 2 ans environ. Ce, après avoir agressé cruellement sa compagne Ornella MEKEMEZA ME NGUEMA, une gabonaise de 28 ans, à l’aide d’une machette, pour lui avoir refusé de passer des moments intimes.

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De source autorisée, le petit Emmanuel, 2e et dernier né de la jeune femme, était âgé de seulement 1 mois, lorsque Christophe est entré dans la vie d’Ornela, sa mère. N’étant pas le père biologique des deux enfants, l’homme aurait alors nourrit de l’idée concevoir avec sa bien-aimée. Qui, lui aurait demandé de faire preuve de patience, soit jusqu’à ce que son dernier né atteigne l’âge de 2 ans, avant de passer à l’acte sexuel.

Seulement, a-t-elle expliqué, «je n’ai pas accepté cette idée au départ. Du moins je lui ai dit qu’il fallait que le tout petit atteigne d’abord l’âge de 2 ans» des propos recueilli auprès de Ornela MEKEMEZA ME NGUEMA, sur son lit d’hôpital du Centre hospitalier régional Georges RAWIRI de Lambaréné, rapporté par ‘’L’Union’’ (N° 13 766)

Au moment venu et tant attendu par le compagnon de la victime, le couple aurait alors entrepris de consulter un professionnel, au risque d’altérer la santé de l’enfant encore allaité par la dame Ornela. C’est alors que Christophe aurait suspecté de la part de sa compagne un double jeu à son égard, suspectant sa dulcinée de prendre un traitement qui ne favorisait pas la conception. Et sa colère l’aurait ainsi conduit à menacer cette dernière de s’en prendre à l’enfant, qu’il aurait aussitôt traîné dans la chambre.
Le suivant, elle a vu l’homme mettre à exécution sa menace, assénant des coups de machette à la sur le petit corps inoffensif d’Emmanuel. Prise de peur, Ornela MEKEMEZA aurait choisi de prendre la fuite en compagnie de son fils aîné. Abandonnant son tout-petit, que Christophe EMEKA a «décapité», dans un excès de colère.

Tentant de prendre la fuite à la suite de son acte irréparable, il a rapidement été interpellé par les éléments de la brigade routière de Kango, puis placé en garde à vue. Il attend désormais de passer devant la justice où il devra s’expliquer sur les raisons qui l’ont poussé à commettre un crime d’une telle violence sur un être aussi inoffensif.

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Faits Divers

Port Gentil: des substances illicites aux télévisions, Lud Vignon MOUNZÉO en route pour une 2e prison

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Jeune Gabonais âgé d’une vingtaine d’années au nom de Lud Vignon MOUNZÉO (LVM) , à été surpris en flagrant délit, il y a quelques semaines, dans le quartier Côte d’Azur, situé dans le 2e arrondissement de la capitale économique. À cet effet, alors qu’il rendait une visite de courtoisie à sa tante dans la zone appelé fort de l’eau, LVM à remarqué une maison dénuée de résident. Incité par un esprit de vol, ce dernier a commis un acte condamnable par le code pénal.

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En effet, après avoir constaté que la maison était totalement vide, le présumé voleur a décidé de s’infiltrer afin de mettre la main sur tout article de valeur, « j’ai pris le premier écran que j’ai vu, puis le deuxième également. Je les ai posés sur ma tête et je suis parti avec. Je les revendais en ligne au prix du magasin, et les gens achetaient », a reconnu les faits au micro de nos confrères de “Gabon actu”.

Son arrestation par les forces de l’ordre s’est faite grâce à l’étroite collaboration d’un frère du suspect résidant dans le même quartier. En l’attirant dans un bistrot pour partager un verre de bière, Lud Vignon MOUNZÉO n’avait aucune idée que ses poignets allaient bientôt être serrés de menotte, « C’est un grand-frère du quartier qui a organisé ma capture. Il m’a invité à boire une bière et c’est là qu’on m’a appréhendé. Oui, je reconnais mes actes », a déclaré LVM.

À titre de rappel, il y a trois ans, ce jeune homme avait déjà été emprisonné au centre pénitentiaire de Port Gentil pour détention de substances illicites. Inscrit dans les registres des services de renseignement comme récidiviste, ce dernier n’en est pas à sa première infraction.

Il a été placé sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt du Château en attendant son jugement, une fois de plus nous tenons à féliciter le travail acharné des forces de police nationale au sein de cette partie de pays, car cette arrestation mettra en alerte d’autres individus ayant pour passion pour le vol.

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Franceville: condamné à 2 ans prison & 200.000 Fcfa d’amende pour vol aggravé

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[J]eune compatriote de 24 ans, Prince ANGOUROUA a été condamné à 2 ans de prison et à une amende de 200. 000 Fcfa pour vol aggravé avec violence, en ce mois de Mai 2025. Cette décision juridique s’est prise lors de l’audience faite par la correctionnelle du tribunal de première instance de Franceville, le chef-lieu de la province du Haut-Ogooué.

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En effet, cette acte nefaste causé par le coupable, se produit dans la nuit du 5 Avril 2025, au quartier Montagne Sainte, dans le 2e arrondissement de Moanda, le chef-lieu du département de la Lebombi-Leyou. Aux environs de 19 heures, alors que la victime dénommé M.T.V rentre à son domicile, il reçoit un appel d’un membre de sa famille.  Lors de  sa conversation avec ce dernier, Prince ANGOUROUA  bondit sur lui, le maîtrise à l’aide d’une prise communément appelée « clé 14 » et lui arrache son téléphone portable avant de disparaître dans la nature.

Sur le fait, la victime a lancé des appels à l’aide entendu par les riverains qui etaient dans les environs, prennent en chasse le malfrat, et réussissent à le neutraliser non loin de l’hôtel Buding, ensuite ils l’on directement conduit au poste de gendarmerie. Lors de sa prise de parole à la barre, ce dernier reconnaît les faits,  « J’ai aperçu ma victime en train de marcher seule. J’ai donc décidé de lui dérober son téléphone dans le but de le revendre », a déclaré PA au micro de nos confrères de ‘l’Union ».


Après avoir suivis les réquisitions du ministère public, la correctionnelle du tribunal de première instance a rendu sa décision, une condamnation de 2 ans de prison ferme, ajouté à une amende de 200.000 Fcfa. Sans oublié que Prince ANGOUROUA a déjà été condamné à 1 an de prison pour les mêmes faits en 2022.


Au sorti de cet audiance, les autorités devrait multiplier des patrouilles des agents de police et de gendarmerie, visant  à lutter contre ce fléau de la délinquance juvénile, afin d’assurer un peu plus la sécurité des populations qui subissent ce genre de vols et agressions, surtout dans les quartiers sous intégré, que se soit dans la capital ou dans l’intérieur du pays.

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Mouila: 130 bonbons de cannabis, une commerçante de manioc épinglée par l’OCLAD

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Après la province de l’Ogooué maritime et celle du moyen Ogooué, c’est au tour de la province de la Ngounié où les agents de l’Office central de lutte antidrogue (Oclad) ont interpellé en flagrant délit, une jeune commerçante Gabonaise de 30 ans, au nom de Nefertitine Moghegne. C’est dans le cadre d’une mission de routine, effectuée le 3 mai 2925, que les OPJ ont réussi à mettre la main sur la concernée au village Ovala, située à 9 km du district d’Etéké, dans le département de l’Ogoulou.

En effet, Au cours de leurs patrouilles récurrentes, les Officiers de police judiciaire ont perquisitionné 130 bonbons de cannabis, dissimulés délicatement dans des emballages des produits alimentaires. Précisément dans le manioc, pour tromper la vigilance des policiers, afin de transporter cette substance illicite et ensuite d’aller la revendre dans son village.

À la fin de ces investigations, la trafiquante  a été conduite au poste de police pour approfondir les enquêtes, avant d’être présentée devant le procureur de République. Au cours de son audition par l’instance juridique, des preuves accablantes ont établit clairement la culpabilité de la femme dealer. C’est la raison pour laquelle, le ministère Public a décidé de la placer sous mandat de dépôt à la prison centrale de Mouila, pour détention et vente de cannabis.

Dans une activité  exercée principalement par les hommes, de nos jours, fort est de constater que la gente féminine se fait de plus en plus signaler dans des milieux jusqu’à peu réservé aux hommes. C’est peut-être là, la preuve manifeste de l’évolution des droits de la femme. Notamment sur la fameuse théorie de l’égalité homme femme.Mais peut-on s’en féliciter pour autant ?

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