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Economie

Gabon /hausse des prix de denrées alimentaires: le gouvernement veut y mettre fin

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Au cours d’une séance de travail ce 17 juin 2021, les ministres du Commerce, Hugues MBADINGA MADIYA et de l’Economie et la relance Nicole ROBOTY ont échangé avec les opérateurs économiques. Une rencontre pour rappeler à ces derniers qu’ils sont soumis à une législation qui encadre la tarification des produits. 

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Huile, riz, sucre ou encore sel, des produits de premières nécessité qui sont en phase de devenir un luxe pour les consommateurs gabonais, tant ils sont sujets à une hausse incontrôlée des prix. Pour les membres du gouvernement, il faut absolument trouver une solution pour recadrer cette situation qui semble se passer du cadre législatif qui régit la politique des prix. 

Le ministre du Commerce l’a d’ailleurs indiqué dans son propos, «beaucoup d’entre eux sont détenteurs de l’agrément vie chère. Cet agrément leur donne des avantages notamment en termes fiscal et douanier. Et nous ne pouvons pas au niveau du gouvernement tolérer des spéculations ou des ententes illicites qui provoquent une hausse des prix inconsidérée des prix de ces produits de premières nécessité». 

Et c’est depuis le mois de mars que cette situation s’est installée tant à Libreville que dans l’arrière-pays. Nicole ROBOTY l’a d’ailleurs reconnu «on a certains opérateurs qui ont créé cette situation». Rappelant en outre le rôle de la pandémie de la Covid-19 qui a contribué à créer des distorsions sur le marché. À cet effet, a-t-elle déploré, «depuis le mois de mars nous avons remarqué que le taux d’inflation est passé de 1.3% à 2,1%. C’est important».

Cela est d’autant plus important que la bourse des gabonais, elle aussi impactée par la pandémie ne parvient plus à suivre le cours de ces hausse de prix. Un retour à des tarifs moins exagérés ne leur en serait que d’un grand bien. 

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Economie

Gabon /Patricia MANON: de la Direction générale de la CDC au Secrétariat général de la COBAC 

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Le Sommet extraordinaire des chefs d’États de la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique centrale (CEMAC), du 9 avril 2024, a honoré le Gabon de plusieurs manières. 

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En effet, au terme de cette rencontre de haut niveau à l’échelle sous-régionale, Libreville a officiellement été désignée pour abriter le siège de la COBAC. Cependant, les travaux d’aménagement de l’immeuble-siège n’étant pas encore achevés, son Secrétariat Général est toujours établi dans les locaux de la BEAC à Yaoundé, au Cameroun. 

Par ailleurs, la gabonaise Danielle Patricia MANON, ancienne Directrice générale de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), a été nommée Secrétaire Générale Adjoint de la Commission Bancaire d’Afrique Centrale (COBAC). Recevant au passage les «chaleureuses félicitations» du ministre de l’Economie et des participations, Mays MOUISSI, en lui souhaitant «plein succès dans ses nouvelles fonctions au service de notre communauté régionale», rapporte l’AGP. 

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Economie

Digitalisation de l’administration: la DGI lance la plateforme Digitax Gabon 

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Ce 8 avril 2024, le ministre de l’économie et des Participations, Mays MOUISSI et ses collègues des Comptes publics et de la Communication, Charles MBA et Laurence NDONG, ainsi que de nombreux opérateurs économiques ont honoré à l’invitation de la Direction générale des Impôts (DGI). Laquelle procédait au lancement de la plateforme numérique de la gestion fiscale au Gabon, Digitax Gabon. 

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Fruit de la combinaison de 3 applications, eTax, Digitax et eBanque, l’outil plus complet et convenable à l’évolution de l’administration. Il sera également un support également aux ambitions des autorités gouvernantes, l’outil numérique va permettre de révolutionner les procédures fiscales. En d’autres termes, pour la DGI il s’agit de simplifier et dématérialiser les démarches à la charge des contribuables et ainsi améliorer la relation avec l’administration.

En effet, se satisfait le Directeur général des Impôts, Eric BOUMAH, «la solution Digitax consacre, à n’en point douter, une avancée considérable dans le processus de dématérialisation de l’administration gabonaise. Elle entraînera inéluctablement une croissance significative de nos recettes fiscales», comme cela a été le cas pour les pays africains qui l’ont expérimenté avant le Gabon, assure-t-il. Car, «lorsque toutes les parties prenantes jouent bien leurs partitions, les recettes collectées peuvent passer du simple au double», a-t-il lancé, en guise d’encouragement aux opérateurs économiques présents. 

Initiée depuis 2023, dans le cadre de la modernisation des entités placées sous la tutelle du ministère de l’Economie et des participations, la plateforme Digitax, annonce une ère nouvelle de la gestion fiscale. Mais pour laquelle Mays MOUISSI a sollicité la «magnanimité des contribuables». En effet, précise-t-il, «quelques fois lorsque nous lançons de nouvelles solutions informatiques, nous sommes soumis à quelques bugs, à quelques éléments de sur-utilisation. Si cela venait à arriver, pardonnez-nous d’avance. Nous allons travailler à corriger tous les bugs que nous allons rencontrer». 

La cérémonie qui s’est achevée par une simulation d’utilisation de l’outil Digitax, a été le lieu pour le ministre de tutelle et le Directeur général des Impôts d’adresser leurs félicitations aux agents de l’administration impliqués dans l’élaboration de cette plateforme. Non sans les encourager pour la suite du processus. Pour rappel, cette plateforme innovante permettra la gestion intégrée de l’ensemble des processus fiscaux, incluant la gestion de l’assiette fiscale, le recouvrement, le contrôle fiscal, le traitement des contentieux, ainsi que le paiement des impôts par téléprocédure.

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Economie

Diaspora gabonaise: enfin des projets pour contribuer à l’économie nationale 

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Bien connue des réseaux sociaux, la diaspora gabonaise pourrait enfin se distinguer auprès de leurs concitoyens. Au cours de l’audience tenue ce 27 mars 2024 avec le Président de la Transition, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, la confédération de la diaspora gabonaise multicontinentale G10 a révélé quelques pans de ses ambitions pour la jeunesse gabonaise. Des actions plus que des mots semble-il désormais. Mais cela reste à voir. 

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En effet, désireux de créer de l’emploi et de soutenir l’entrepreneuriat des jeunes, la confédération prévoit des investissements. Et dans ce sens, une initiative serait prête à être concrète, celle de la mise en œuvre d’un village agricole qui permettra de générer des emplois pour la jeunesse gabonaise, révèle un communiqué de la présidence de la République. 

Voilà qui devrait permettre de redorer l’image de la diaspora gabonaise, qui selon des chiffres officiels contribuerait à hauteur de 0%, au produit intérieur brut (PIB) du pays, avec seulement 2,9 millions de Fcfa (5000 $). Quand le Nigéria recevait de sa diaspora 23,63 milliards de $ et le Sénégal, 2,56 milliards de dollars. 

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