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International

Covid-19: le Japon demande à la Chine de cesser l’utilisation des tests anaux sur ses citoyens

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Les tests de dépistage anaux de Covid-19 pratiqués depuis janvier 2021 par la Chine et supposés être plus efficaces dans la détection du nouveau coronavirus, ont du mal à passer à l’international, notamment au Japon. En effet, il y a quelques heures des autorités administratives ont indiqué au gouvernement chinois d’arrêter d’effectuer ces tests auprès des citoyens nippons.

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En effet, tels que l’ont mentionné plusieurs de nos confrères, l’Archipel nippon a demandé à Pékin d’arrêter de faire subir à ses citoyens les tests de dépistage par écouvillonnage anal, à l’arrivée en Chine. Une demande survenue après que plusieurs japonais se soient plaints que cette procédure leur causait une “détresse psychologique”. «Certains Japonais ont rapporté à notre ambassade en Chine qu’ils avaient reçu des tests de prélèvement anal, ce qui a causé une grande douleur psychologique» ont déclaré les officiels japonais.

Ainsi, face à ces plaintes répétées, le 1er mars 2021 le gouvernement du pays du soleil levant a adressé à la Chine sa volonté de voir cesser la pratique des tests anaux sur ses citoyens. «Le porte-parole du gouvernement a déclaré ce lundi avoir indiqué à la Chine son souhait d’arrêter les tests anaux mis en place depuis la fin de janvier sur toute personne qui rentre sur le territoire chinois», a relevé le journal “Furansu Japon”.

Enfin, force est de relever que ce n’est pas la première fois qu’un état fustige ces tests depuis leur introduction en Chine durant le mois de janvier. Il y a plusieurs jours, des médias américains ont rapporté que certains de leurs diplomates auraient été forcés de subir cette procédure ; une thèse démentie par Pékin.

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Afrique

50 ans d’indépendance de Guinée Bissau: OLIGUI NGUEMA prend part aux festivités

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Invité par son homologue Bissau-Guinéen, le Président de la Transition, le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a pris part ce jour à l’Avenue Amilcar Cabral à la célébration du 50ème anniversaire de l’accession à la magistrature suprême de la République de Guinée Bissau.

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Cette commémoration a vu la participation de plusieurs Chefs d’État, de leaders politiques, du corps diplomatique, des organismes internationaux et d’anciens leaders et dirigeants qui ont marqué l’histoire de ce pays ami.

Après les parades militaire, populaire et la revue des troupes marquant l’événement, le Général Umaro SISSOCO EMBALÓ a livré une adresse au peuple bissau-guinéen à travers laquelle il a rendu hommage aux héros de l’indépendance de la Guinée Bissau.

Au terme de cette cérémonie, le Président de la Transition a adressé ses félicitations à son Homologue pour l’organisation des festivités et s’est dit honoré par l’accueil qui lui a été réservé en terre bissau-guinéenne. Le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a par ailleurs saisi ces moments pour réitérer la volonté du Gabon de développer un partenariat actif avec la Guinée Bissau.

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International

Après avoir évoqué un 3e mandat d’Emmanuel MACRON, Richard FERRAND rétropédale

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Un récent entretien accordé au journal “Le Figaro” a suscité un élan de polémique dans la société française. Richard FERRAND, ancien président de l’Assemblée nationale s’est dit opposé à la limitation des mandats présidentiels en France. Qui selon lui «bride le choix des électeurs», qui ne seraient pas opposés à un 3e mandat du président Emmanuel MACRON. Pris à la gorge par les conséquences de ses propos dans l’opinion, Richard FERRAND s’est montré outré par cette agitation autour de sa sortie. «Consternant de voir s’agiter réseaux sociaux et médias paresseux sur une proposition stupide que je ne fais pas dans un entretien : modifier la constitution pour la présidentielle de 2027. Panurgisme imbécile». Pour rappel, Richard FERRAND a ouvertement dit sa volonté de se défaire des normes établies et des traditions républicaines françaises, en matière d’élections. Avait-il déclaré, «je regrette tout ce qui bride la libre expression de la souveraineté populaire, la limitation du mandat présidentiel dans le temps, le non cumul des mandats etc». Une non-proposition qui laisse entrevoir pourtant une volonté de voir Emmanuel MACRON se présenter à nouveau à sa propre succession.  

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Afrique

RCA: après 16 mois de détention un prisonnier français, libéré grâce à Ali BONGO

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Juan Rémy QUIGNOLOT a enfin pu regagner sa France natale dimanche 21 mai 2023. Après 16 mois de détention préventive à Bangui (RCA) où il avait été arrêté en mai 2021. L’interpellation de cet ancien militaire de 57 ans, était consécutive à la découvert, à son domicile, d’un important stock d’armes. Sous contrôle judiciaire depuis le 22 septembre 2022, avec interdiction de quitter le territoire centrafricain, Juan Rémy QUIGNOLOT a finalement pu s’en aller grâce à la diplomatie d’Ali BONGO ONDIMBA qui aura pesé de tout son poids dans ce dossier. Le Chef de l’État gabonais est d’ailleurs à l’origine de la remise en liberté du français 8 mois plus tôt. Parti de Bangui le mardi 18 mai dernier, Juan Rémy QUIGNOLOT a marqué une halte de deux jours à Libreville. Si rien n’a filtré de cette escale en terres Gabonaises, l’on imagine bien que l’ancien militaire français, que l’on dit «très éprouvé physiquement» en a profité pour remercier Ali BONGO ONDIMBA. Et pour cause. Approchée par nos confrères de l’AFP, Caroline QUIGNOLOT, la sœur de l’ancien militaire, a confirmé que le Président gabonais «a joué un rôle important dans sa libération», faisant office de «médiateur» entre Bangui et Paris.

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