Politique
Ali BONGO fait “Généraux” 5 Commandants en chef des corps habillés
En tant que Chef Suprême des forces de défense et de sécurité, Ali BONGO a présidé la cérémonie de port de galons des Commandants en Chef sur l’esplanade du Palais de la Rénovation, hier vendredi 29 janvier 2021. Des distinctions qui couronnent plusieurs années de service pour la préservation de la sécurité du territoire et des populations, remises à cinq personnalités.
Comme le rapporte “Gabon Media Time” (GMT), c’est en présence de Lambert Noël MATHA, Michael Moussa ADAMO et Erlyne Antonella NDEMBET DAMAS, respectivement ministres de l’Intérieur, de la Défense nationale et de la Justice, que s’est déroulée la cérémonie ponctuée tour à tour par l’exécution de l’Hymne national la Concorde, le passage en revue des troupes et la cérémonie de port des galons.
Ali BONGO, conformément à son pouvoir discrétionnaire, a fait monter en grade le Général de Corps d’armée DOCTERE Richard, chef d’Etat-major particulier du Président de la République, du Général de Division Yves DITENGOU, Chef d’Etat-major général des Forces armées gabonaises, du Général de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, Commandant en chef de la Garde Républicaine, du Général de Division Serge Hervé NGOMA, Commandant en chef des Forces de Police Nationale et enfin le Général de Division Jean Germain EFFAYONG ONONG, Commandant en chef de la Sécurité pénitentiaire.
À l’issue de la cérémonie, le Chef de l’Exécutif a rappelé aux promus leur engagement citoyen et les a exhortés à redoubler d’efforts afin de mener à bien leur mission au service de la nation. Un message qui, nous l’espérons, résonnera pour toujours dans l’esprit de ces serviteurs de la nation.
Politique
Transition, Référendum & nouveau code électoral: OLIGUI NGUEMA en parle avec Denis SASSOU NGUESSO
Selon un communiqué de presse de la Présidence de la République, le chef de l’État gabonais, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, en marge de la cérémonie marquant la réouverture officielle de la Cathédrale Notre Dame de Paris, le 08 décembre 2024, à Paris, a échangé avec son homologue congolais, Denis SASSOU NGUESSO. La teneur de cette rencontre a porté notamment sur, le processus de transition, le référendum 2024, qui a vu une large approbation de la nouvelle Constitution et le nouveau code électoral, dont la composition de la Commission nationale chargée de son l’élaboration a été rendu publique par le porte-parole du CTRI.
Politique
Référendum 2024: score soviétique pour le Oui 91,80% des suffrages
C est à la faveur d’une déclaration d’une déclaration rendue public ce dimanche 17 novembre 2024 que le ministre de l’Intérieur Hermann IMMONGAULT a annoncé les résultats provisoires de l’élection référendaire qui s’est tenu le 16 novembre dernier. Ainsi, au terme d’un scrutin le oui l’a emporté avec 91,80% des suffrages exprimés.
Politique
Référendum 2024: le PDG responsable du taux d’abstention désigné comme « vainqueur », par Anges Kevin NZIGOU
Maitre Anges Kevin NZIGOU, Secrétaire exécutif du parti Pour Le Changement (PLC), par ailleurs soutient assumé du « Oui » pour la nouvelle Constitution s’est prononcé, ce 16 novembre 2024, date du scrutin référendaire, bien avant la proclamation des résultats. Pour l’avocat, si le « Oui » semble l’emporter face au « Non », le véritable vainqueur reste néanmoins «l’abstention». La faute à qui ? A la résilience du parti déchu, le Parti démocratique gabonais (PDG) dont de nombreux membres sont présents au cours de cette transition. Ci-dessous son propos tiré de sa page Facebook.
« ✍️ Il FAUT ABSOLUMENT CHASSER LE PDG
Les tendances des élections référendaires semblent donner une large victoire au “Oui”, une nouvelle qui peut réjouir ses partisans. Pourtant, en y regardant de plus près, le véritable vainqueur de cette élection est sans conteste l’abstention, dont le niveau record est profondément symbolique du malaise qui habite le peuple gabonais.
Rappelons-nous : le 30 août 2023, le peuple avait applaudi le coup d’État, espérant un rejet clair et définitif du PDG et de ses pratiques. Mais un an plus tard, l’omniprésence persistante de ce parti laisse un goût amer. Les Gabonais se sentent trompés, trahis dans leurs attentes de changement.
Cette forte abstention, dans un contexte où le coup d’État avait suscité tant d’espoirs, est l’expression d’un désenchantement profond. Elle traduit la frustration de voir que le PDG, au lieu de disparaître, continue de peser sur le destin de la nation.
Le message est clair : le peuple gabonais attend toujours le vrai changement qu’il a si ardemment appelé de ses vœux ».