Société/Environnement
Gabon /Sogatra: Brice PAILLAT entend régler la problématique des arriérés de salaire
Il y a quelques jours, le ministre des Transports, Brice PAILLAT s’est rendu au siège de la Société gabonaise des Transports (Sogatra) à Libreville. Avec les organisations syndicales de la structure, le chef du département ministériel précité a abordé la question des arriérés de salaire estimés à 10 mois. L’objectif, trouver un terrain d’entente afin de mettre fin au calvaire des salariés de cette entreprise.
Après avoir été interpellé par les organisations syndicales de la Société gabonaise de transport (Sogatra), Brice PAILLAT s’est déplacé au siège de la société publique à Libreville. Durant sa visite, les leaders syndicaux et ce dernier ont éffectué des échanges quant à la situation d’arriérés de salaire qui perdure depuis 10 mois. Tel que le décrit nos confrères de “Gabon review”, La société subventionnée par l’Etat à hauteur d’environ 4 milliards de francs CFA par an, a cumulé 10 mois d’arriérés de salaire, plongeant ainsi ses agents dans «l’instabilité».
Ainsi, le ministre de tutelle a statué sur l’avancée des démarches qu’il a déjà initiées avec son homologue du Budget, allant dans le sens d’un prompt règlement des salaires. C’est en saluant les efforts réalisés par l’administration de la Sogatra, que Brice PAILLAT s’est dit tout aussi ravi de la qualité du dialogue social tenu par les syndicats. Le ministre des Transports a également effectué la promesse de revenir pour «croiser nos regards sur les problématiques communes», a évoqué un leader syndical.
Enfin, la prochaine rencontre devrait toucher d’autres difficultés liées au fonctionnement de la Sogatra, qui a transporté 1,7 million de personnes en 2019 sur l’ensemble du territoire gabonais.
Société/Environnement
Gabon: Booster une marque internationale à la qualité irréprochable
Face aux allégations répandues sur les réseaux sociaux concernant la marque de boisson Booster, la Société des boissons rafraichissantes du Gabon (SOBRAGA) via un communiqué parvenu à notre rédaction, dément formellement tout ce qui se dit sur la toile et tient à rassurer les consommateurs. Ci-dessous l’intégralité du communiqué.
Société/Environnement
Hermann KAMONOMONO élu Président du Réseau Habitat et Francophonie
Hermann KAMONOMONO, Directeur Général de la Société Nationale Immobilière (SNI) du Gabon, a été élu à la tête du Réseau Habitat et Francophonie (RHF) par ses pairs lors de la 56ᵉ Assemblée générale de l’organisation, tenue le 10 novembre à l’Hôtel Manoir Victoria, Québec. Il succède au Belge Vincent SCIARRA, Directeur Général du Fonds du Logement de Wallonie, assurant ainsi une continuité dans l’engagement pour des politiques innovantes en matière de logement.
Créé en 1987, le Réseau Habitat et Francophonie (RHF) est une organisation internationale visant à faciliter l’accès à un logement sain, décent et financièrement abordable. Le RHF partage les valeurs d’humanisme et de solidarité propres à la Francophonie et poursuit principalement trois missions : échanger, proposer et agir pour un logement décent et abordable ; développer des partenariats, former et informer les professionnels du logement abordable ; et faire connaître et mieux comprendre le secteur du logement abordable à travers la recherche et la prospective.
Réunissant des experts et décideurs francophones, cette assemblée avait pour thème « Surmonter la crise du logement en mode solutions », soulignant les stratégies et initiatives nécessaires pour relever les défis globaux liés au logement.
Hermann KAMONOMONO, reconnu pour son expertise dans les questionsd’habitat et de logement, est également Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers du Gabon et Vice-président de l’Union Africaine des Promoteurs Immobiliers.
Son élection à la tête de RHF par ses pairs pour un mandat de 3 ans témoigne de la confiance placée en sa capacité à impulser une nouvelle dynamique pour le développement durable de l’habitat au sein de l’espace francophone.
Société/Environnement
85.000 femmes et jeunes filles tuées dans le monde en 2023
En 2023, au moins 85.000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde, dont 60% par «leur conjoint ou d’autres membres de leur famille». Soit 140 chaque jour ou une toutes les 10 minutes. Un «niveau alarmant» pour des meurtres qui pourraient pourtant être «évités», selon un rapport de l’Office viennois des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et de l’organisation new-yorkaise ONU femmes publié lundi 25 novembre.
Selon l’organisation mondiale, le phénomène «dépasse les frontières, touche toutes les catégories sociales et groupes d’âge». Les Caraïbes, l’Amérique centrale et l’Afrique sont les régions les plus touchées devant l’Asie. Les membres de la famille y sont le plus souvent en cause, tandis que sur le continent américain et en Europe, les féminicides sont majoritairement perpétrées par le partenaire. «La maison reste l’endroit le plus dangereux» pour les femmes.