Société/Environnement
Gabon: La FSBO offre des dons à 2800 étudiants et GEF via Airtel money
Le 25 décembre dernier, la Fondation Sylvia BONGO ONDIMBA (FSBO) pour la famille a effectué des dons via Airtel money à l’endroit de 2800 étudiants et Gabonais économiquement faibles. Compte tenu des conditions difficiles engendrées par la covid-19, la FSBO a tenu à conforter ses actions de solidarité en faveur des plus vulnérables.
En effet, depuis le début du mois d’avril, la FSBO est engagée à venir en soutien aux populations économiquement faibles, fortement affectée par la pandémie du nouveau coronavirus. Tel que l’indique nos confrères de “Médias241”, ce sont 2800 étudiants et Gabonais économiquement faibles qui ont reçu la somme de 25 000 FCFA sur leur compte Airtel money le jour de Noël. «A travers ces dons d’une valeur unitaire de 25 000 FCFA, la Fondation a ainsi réaffirmé sa volonté d’accompagner ces personnes en situation de précarité afin de leur permettre de fêter Noël dans la dignité», a mentionné la FSBO.
Enfin, notifions que la Fondation n’est pas à sa première initiative du genre. Le 5 juin 2020, dans le cadre de l’aide alimentaire, 6061 Gabonais économiquement faibles ont reçu la somme de 25 000 FCFA via Airtel money. Par le biais de ces initiatives, la FSBO entend aider au mieux les populations à affronter un contexte pandémique mondial, qui a grandement affecté les ressources des ménages, ainsi que les revenus des plus démunis.
Société/Environnement
Gabon: Booster une marque internationale à la qualité irréprochable
Face aux allégations répandues sur les réseaux sociaux concernant la marque de boisson Booster, la Société des boissons rafraichissantes du Gabon (SOBRAGA) via un communiqué parvenu à notre rédaction, dément formellement tout ce qui se dit sur la toile et tient à rassurer les consommateurs. Ci-dessous l’intégralité du communiqué.
Société/Environnement
Hermann KAMONOMONO élu Président du Réseau Habitat et Francophonie
Hermann KAMONOMONO, Directeur Général de la Société Nationale Immobilière (SNI) du Gabon, a été élu à la tête du Réseau Habitat et Francophonie (RHF) par ses pairs lors de la 56ᵉ Assemblée générale de l’organisation, tenue le 10 novembre à l’Hôtel Manoir Victoria, Québec. Il succède au Belge Vincent SCIARRA, Directeur Général du Fonds du Logement de Wallonie, assurant ainsi une continuité dans l’engagement pour des politiques innovantes en matière de logement.
Créé en 1987, le Réseau Habitat et Francophonie (RHF) est une organisation internationale visant à faciliter l’accès à un logement sain, décent et financièrement abordable. Le RHF partage les valeurs d’humanisme et de solidarité propres à la Francophonie et poursuit principalement trois missions : échanger, proposer et agir pour un logement décent et abordable ; développer des partenariats, former et informer les professionnels du logement abordable ; et faire connaître et mieux comprendre le secteur du logement abordable à travers la recherche et la prospective.
Réunissant des experts et décideurs francophones, cette assemblée avait pour thème « Surmonter la crise du logement en mode solutions », soulignant les stratégies et initiatives nécessaires pour relever les défis globaux liés au logement.
Hermann KAMONOMONO, reconnu pour son expertise dans les questionsd’habitat et de logement, est également Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers du Gabon et Vice-président de l’Union Africaine des Promoteurs Immobiliers.
Son élection à la tête de RHF par ses pairs pour un mandat de 3 ans témoigne de la confiance placée en sa capacité à impulser une nouvelle dynamique pour le développement durable de l’habitat au sein de l’espace francophone.
Société/Environnement
85.000 femmes et jeunes filles tuées dans le monde en 2023
En 2023, au moins 85.000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde, dont 60% par «leur conjoint ou d’autres membres de leur famille». Soit 140 chaque jour ou une toutes les 10 minutes. Un «niveau alarmant» pour des meurtres qui pourraient pourtant être «évités», selon un rapport de l’Office viennois des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et de l’organisation new-yorkaise ONU femmes publié lundi 25 novembre.
Selon l’organisation mondiale, le phénomène «dépasse les frontières, touche toutes les catégories sociales et groupes d’âge». Les Caraïbes, l’Amérique centrale et l’Afrique sont les régions les plus touchées devant l’Asie. Les membres de la famille y sont le plus souvent en cause, tandis que sur le continent américain et en Europe, les féminicides sont majoritairement perpétrées par le partenaire. «La maison reste l’endroit le plus dangereux» pour les femmes.