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Société/Environnement

Gabon: Vers un retour au transport payant ?

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Huit mois après la décision gouvernementale de la gratuité du transport urbain, afin de soulager les citoyens en cette période de crise de Covid-19, l’habitude semble s’être installée positivement et durablement dans la population. Si bien que le succès de cette mesure semble avoir fait oublier qu’un retour au paiement du transport public pourrait être imminent.

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Depuis le début de l’année, les files d’attente longues de plusieurs mètres sont devenues une observation quotidienne dans les communes de Libreville, Owendo et Akanda. Les usagers de Trans’urb et Trans’Akanda se sont adaptés à cette mesure de gratuité qui les soulage du paiement du transport public depuis des mois.

Seulement, alors que l’épidémie semble être définitivement maîtrisée, il n’est pas à exclure qu’un retour au régime commercial soit envisagé par les autorités. Ce qui signifie que les citoyens devront prendre de nouvelles habitudes et payer pour leurs déplacements. Une transition brutale vers le régime commercial aurait des conséquences fâcheuses sur l’ordre social établi depuis huit mois.

De ce fait, les autorités de tutelle et responsables des sociétés de transport devraient dès à présent, sensibiliser les uns et les autres sur une éventuelle restauration des mécanismes traditionnels de transport, y compris ceux facturés aux usagers. Une migration inévitable à laquelle doit donc se préparer le commun des Gabonais.

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Société/Environnement

Gabon: Booster une marque internationale à la qualité irréprochable

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Face aux allégations répandues sur les réseaux sociaux concernant la marque de boisson Booster, la Société des boissons rafraichissantes du Gabon (SOBRAGA) via un communiqué parvenu à notre rédaction, dément formellement tout ce qui se dit sur la toile et tient à rassurer les consommateurs. Ci-dessous l’intégralité du communiqué.

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Société/Environnement

Hermann KAMONOMONO élu Président du Réseau Habitat et Francophonie

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Hermann KAMONOMONO, Directeur Général de la Société Nationale Immobilière (SNI) du Gabon, a été élu à la tête du Réseau Habitat et Francophonie (RHF) par ses pairs lors de la 56ᵉ Assemblée générale de l’organisation, tenue le 10 novembre à l’Hôtel Manoir Victoria, Québec. Il succède au Belge Vincent SCIARRA, Directeur Général du Fonds du Logement de Wallonie, assurant ainsi une continuité dans l’engagement pour des politiques innovantes en matière de logement.

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Créé en 1987, le Réseau Habitat et Francophonie (RHF) est une organisation internationale visant à faciliter l’accès à un logement sain, décent et financièrement abordable. Le RHF partage les valeurs d’humanisme et de solidarité propres à la Francophonie et poursuit principalement trois missions : échanger, proposer et agir pour un logement décent et abordable ; développer des partenariats, former et informer les professionnels du logement abordable ; et faire connaître et mieux comprendre le secteur du logement abordable à travers la recherche et la prospective.

Réunissant des experts et décideurs francophones, cette assemblée avait pour thème « Surmonter la crise du logement en mode solutions », soulignant les stratégies et initiatives nécessaires pour relever les défis globaux liés au logement.

Hermann KAMONOMONO, reconnu pour son expertise dans les questionsd’habitat et de logement, est également Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers du Gabon et Vice-président de l’Union Africaine des Promoteurs Immobiliers.
Son élection à la tête de RHF par ses pairs pour un mandat de 3 ans témoigne de la confiance placée en sa capacité à impulser une nouvelle dynamique pour le développement durable de l’habitat au sein de l’espace francophone.

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Société/Environnement

85.000 femmes et jeunes filles tuées dans le monde en 2023

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En 2023, au moins 85.000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde, dont 60% par «leur conjoint ou d’autres membres de leur famille». Soit 140 chaque jour ou une toutes les 10 minutes. Un «niveau alarmant» pour des meurtres qui pourraient pourtant être «évités», selon un rapport de l’Office viennois des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et de l’organisation new-yorkaise ONU femmes publié lundi 25 novembre.

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Selon l’organisation mondiale, le phénomène «dépasse les frontières, touche toutes les catégories sociales et groupes d’âge». Les Caraïbes, l’Amérique centrale et l’Afrique sont les régions les plus touchées devant l’Asie. Les membres de la famille y sont le plus souvent en cause, tandis que sur le continent américain et en Europe, les féminicides sont majoritairement perpétrées par le partenaire. «La maison reste l’endroit le plus dangereux» pour les femmes.

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