Faits Divers
Libreville: Un policier trimballé sur le capot d’un taxi de Nzeng-Ayong à Kalikak

C’est via un communiqué publié ce 19 octobre 2020, que les Forces de Police Nationale (FPN) ont dénoncé un acte d’incivisme d’une rare violence. Installé sur le capot après avoir été percuté par un taxi, un policier a été trimballé de Nzeng-Ayong, près de la station Oil Lybia, à quelques mètres du lycée MBELE, jusqu’au quartier Kalikak. À l’issue de la course, le conducteur a été interpellé par les éléments de la Gendarmerie, alors que l’agent de police, lui a été transporté illico dans une structure hospitalière.

C’est aux environs de 17h15, ce dimanche que la scène s’est produite. D’ordinaire, il est établi que les véhicules en provenance du carrefour GP et en partance vers l’échangeur ou le rond-point de Nzeng-ayong, roulent sur une file. Mais, installé à bord d’un taxi de marque Toyota Carina, un conducteur en a décidé autrement. Il a donc forcé le passage en dépit des injonctions réglementaires du policier, qui s’est dressé sur son chemin.
Un geste qui n’a pas arrêté le chauffeur de taxi qui a choisi de percuter l’agent de police. Ce dernier, «n’a eu son salut qu’en s’agrippant au capot du véhicule qui l’a traîné de la station Oil Lybia, en passant par sous l’échangeur de Nzeng-Ayong, ancienne SOBRAGA, jusqu’au quartier Kalicak, où il a été projeté par l’arrêt brusque dudit véhicule poursuivi par les policiers et des citoyens de bonne volonté», a indiqué le communiqué. Quant au policier, il a été conduit de toute urgence dans une structure hospitalière de la place où il lui a été décelé plusieurs lésions et un choc au niveau de la tête.
Remerciant les populations qui ont contribué à porter secours à l’agent blessé, le commandement en chef des Forces de police nationale a rappelé que toute personne qui se rend coupable de violences et voies de fait contre des agents de la force publique, dans l’exercice de leurs fonctions, est passible des peines prévues et réprimées par l’article 260 du Code Pénal Gabonais. Celui-ci stipule que «si les violences visées à l’article 257 et 259 ont été la cause des blessures ou si elles ont été faites avec préméditation ou guet-apens, la peine d’emprisonnement est portée à deux ans au plus, et l’amende est de 2.000.000 de francs au plus».
Faits Divers
Port Gentil: des substances illicites aux télévisions, Lud Vignon MOUNZÉO en route pour une 2e prison

Jeune Gabonais âgé d’une vingtaine d’années au nom de Lud Vignon MOUNZÉO (LVM) , à été surpris en flagrant délit, il y a quelques semaines, dans le quartier Côte d’Azur, situé dans le 2e arrondissement de la capitale économique. À cet effet, alors qu’il rendait une visite de courtoisie à sa tante dans la zone appelé fort de l’eau, LVM à remarqué une maison dénuée de résident. Incité par un esprit de vol, ce dernier a commis un acte condamnable par le code pénal.
En effet, après avoir constaté que la maison était totalement vide, le présumé voleur a décidé de s’infiltrer afin de mettre la main sur tout article de valeur, « j’ai pris le premier écran que j’ai vu, puis le deuxième également. Je les ai posés sur ma tête et je suis parti avec. Je les revendais en ligne au prix du magasin, et les gens achetaient », a reconnu les faits au micro de nos confrères de “Gabon actu”.
Son arrestation par les forces de l’ordre s’est faite grâce à l’étroite collaboration d’un frère du suspect résidant dans le même quartier. En l’attirant dans un bistrot pour partager un verre de bière, Lud Vignon MOUNZÉO n’avait aucune idée que ses poignets allaient bientôt être serrés de menotte, « C’est un grand-frère du quartier qui a organisé ma capture. Il m’a invité à boire une bière et c’est là qu’on m’a appréhendé. Oui, je reconnais mes actes », a déclaré LVM.
À titre de rappel, il y a trois ans, ce jeune homme avait déjà été emprisonné au centre pénitentiaire de Port Gentil pour détention de substances illicites. Inscrit dans les registres des services de renseignement comme récidiviste, ce dernier n’en est pas à sa première infraction.
Il a été placé sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt du Château en attendant son jugement, une fois de plus nous tenons à féliciter le travail acharné des forces de police nationale au sein de cette partie de pays, car cette arrestation mettra en alerte d’autres individus ayant pour passion pour le vol.
Faits Divers
Franceville: condamné à 2 ans prison & 200.000 Fcfa d’amende pour vol aggravé

[J]eune compatriote de 24 ans, Prince ANGOUROUA a été condamné à 2 ans de prison et à une amende de 200. 000 Fcfa pour vol aggravé avec violence, en ce mois de Mai 2025. Cette décision juridique s’est prise lors de l’audience faite par la correctionnelle du tribunal de première instance de Franceville, le chef-lieu de la province du Haut-Ogooué.
En effet, cette acte nefaste causé par le coupable, se produit dans la nuit du 5 Avril 2025, au quartier Montagne Sainte, dans le 2e arrondissement de Moanda, le chef-lieu du département de la Lebombi-Leyou. Aux environs de 19 heures, alors que la victime dénommé M.T.V rentre à son domicile, il reçoit un appel d’un membre de sa famille. Lors de sa conversation avec ce dernier, Prince ANGOUROUA bondit sur lui, le maîtrise à l’aide d’une prise communément appelée « clé 14 » et lui arrache son téléphone portable avant de disparaître dans la nature.
Sur le fait, la victime a lancé des appels à l’aide entendu par les riverains qui etaient dans les environs, prennent en chasse le malfrat, et réussissent à le neutraliser non loin de l’hôtel Buding, ensuite ils l’on directement conduit au poste de gendarmerie. Lors de sa prise de parole à la barre, ce dernier reconnaît les faits, « J’ai aperçu ma victime en train de marcher seule. J’ai donc décidé de lui dérober son téléphone dans le but de le revendre », a déclaré PA au micro de nos confrères de ‘l’Union ».
Après avoir suivis les réquisitions du ministère public, la correctionnelle du tribunal de première instance a rendu sa décision, une condamnation de 2 ans de prison ferme, ajouté à une amende de 200.000 Fcfa. Sans oublié que Prince ANGOUROUA a déjà été condamné à 1 an de prison pour les mêmes faits en 2022.
Au sorti de cet audiance, les autorités devrait multiplier des patrouilles des agents de police et de gendarmerie, visant à lutter contre ce fléau de la délinquance juvénile, afin d’assurer un peu plus la sécurité des populations qui subissent ce genre de vols et agressions, surtout dans les quartiers sous intégré, que se soit dans la capital ou dans l’intérieur du pays.
Faits Divers
Mouila: 130 bonbons de cannabis, une commerçante de manioc épinglée par l’OCLAD

Après la province de l’Ogooué maritime et celle du moyen Ogooué, c’est au tour de la province de la Ngounié où les agents de l’Office central de lutte antidrogue (Oclad) ont interpellé en flagrant délit, une jeune commerçante Gabonaise de 30 ans, au nom de Nefertitine Moghegne. C’est dans le cadre d’une mission de routine, effectuée le 3 mai 2925, que les OPJ ont réussi à mettre la main sur la concernée au village Ovala, située à 9 km du district d’Etéké, dans le département de l’Ogoulou.
En effet, Au cours de leurs patrouilles récurrentes, les Officiers de police judiciaire ont perquisitionné 130 bonbons de cannabis, dissimulés délicatement dans des emballages des produits alimentaires. Précisément dans le manioc, pour tromper la vigilance des policiers, afin de transporter cette substance illicite et ensuite d’aller la revendre dans son village.
À la fin de ces investigations, la trafiquante a été conduite au poste de police pour approfondir les enquêtes, avant d’être présentée devant le procureur de République. Au cours de son audition par l’instance juridique, des preuves accablantes ont établit clairement la culpabilité de la femme dealer. C’est la raison pour laquelle, le ministère Public a décidé de la placer sous mandat de dépôt à la prison centrale de Mouila, pour détention et vente de cannabis.
Dans une activité exercée principalement par les hommes, de nos jours, fort est de constater que la gente féminine se fait de plus en plus signaler dans des milieux jusqu’à peu réservé aux hommes. C’est peut-être là, la preuve manifeste de l’évolution des droits de la femme. Notamment sur la fameuse théorie de l’égalité homme femme.Mais peut-on s’en féliciter pour autant ?