Faits Divers
Gabon: les forces de police ont appréhendé l’un des braqueurs du Rond-point de la Démocratie

Le matin du mercredi 08 juillet 2020, un groupe d’une dizaine de jeunes individus ont été filmés en train de voler un sac à bord d’un véhicule qui passait dans le sens Ancienne-Sobraga-Rond Point de la Démocratie. Via un communiqué parvenu à notre rédaction, les forces de police nationale ont informé l’opinion de l’arrestation de l’un des malfrats ce jour-même.

C’est une scène pourtant familière qui s’est déroulée devant les yeux des riverains et des usagers de l’axe Rond-point de la Démocratie-Ancienne Sobraga. Des jeunes délinquants, ont pris à parti un automobiliste qui passait. L’un d’eux, s’étant détaché du groupe, s’’est approché et à introduit sa main dans le véhicule et en a tiré violemment un sac, visiblement des mains de l’un des occupants. Toute la scène a heureusement été filmée par des badauds, qui se tenaient à une certaine distance de l’incident.
Bien leur en a pris car cette vidéo, est arrivée sur la table des forces de l’ordre, qui ont immédiatement pris une action courageuse et efficace. En effet, selon un communiqué des forces de police nationale, le signalement de l’incident leur a été donné aux environs de 10h, moment où « des éléments de la
Brigade Anti Criminalité et de la Brigade de Recherche et d’Intervention se sont immédiatement rendus sur les lieux ».
« A l’approche des éléments des équipes d’intervention, les malfrats qui trainaient encore dans les environs, se sont évanouis dans la nature. Seul l’individu identifié comme étant le meneur, a été interpellé», lit-on encore dans le communiqué.
Si la scène, au vu de sa recrudescence à laquelle les Librevillois sont visiblement habitués, aurait pu demeurer banale, ce qui a particulièrement choqué les témoins, c’est l’attitude des jeunes brigands, qui se sont mis à chercher leur butin dans le sac volé, à quelques mètres du lieu du crime, au nez et à la barbe de leur victime et des badauds. Le fait que la bande n’ait pas pris la peine de déserter les lieux après leur forfait a donc permis de mettre aisément la main sur l’un des voyous.
« A travers les captures et le traitement des images vidéo, ces délinquants sont
identifiés comme étant des repris de justice connus des services de police pour des faits similaires depuis 2013. » indique le communiqué des forces de police, avant de confirmer que « Des informations disponibles, certains refuges de ces indélicats sont déjà identifiés. Les actions se poursuivent en vue de leur interpellation».
C’est donc sur une note positive que cette journée qui a mal commencée se termine pour tous les témoins de cette scène surréaliste et surtout pour les victimes, qui espérons-le pourront rentrer en possession de leurs biens dérobés. Une action efficace, qui serait certainement restée anecdotique n’eut été « l’action de l’usager auteur de la vidéo publiée sur les réseaux sociaux, ayant permis la rapidité d’intervention des Forces de Police
Nationale. », reconnaît-on dans le communiqué, qui encourage par ailleurs tout autre signalement sous anonymat.
Faits Divers
Port Gentil: des substances illicites aux télévisions, Lud Vignon MOUNZÉO en route pour une 2e prison

Jeune Gabonais âgé d’une vingtaine d’années au nom de Lud Vignon MOUNZÉO (LVM) , à été surpris en flagrant délit, il y a quelques semaines, dans le quartier Côte d’Azur, situé dans le 2e arrondissement de la capitale économique. À cet effet, alors qu’il rendait une visite de courtoisie à sa tante dans la zone appelé fort de l’eau, LVM à remarqué une maison dénuée de résident. Incité par un esprit de vol, ce dernier a commis un acte condamnable par le code pénal.
En effet, après avoir constaté que la maison était totalement vide, le présumé voleur a décidé de s’infiltrer afin de mettre la main sur tout article de valeur, « j’ai pris le premier écran que j’ai vu, puis le deuxième également. Je les ai posés sur ma tête et je suis parti avec. Je les revendais en ligne au prix du magasin, et les gens achetaient », a reconnu les faits au micro de nos confrères de “Gabon actu”.
Son arrestation par les forces de l’ordre s’est faite grâce à l’étroite collaboration d’un frère du suspect résidant dans le même quartier. En l’attirant dans un bistrot pour partager un verre de bière, Lud Vignon MOUNZÉO n’avait aucune idée que ses poignets allaient bientôt être serrés de menotte, « C’est un grand-frère du quartier qui a organisé ma capture. Il m’a invité à boire une bière et c’est là qu’on m’a appréhendé. Oui, je reconnais mes actes », a déclaré LVM.
À titre de rappel, il y a trois ans, ce jeune homme avait déjà été emprisonné au centre pénitentiaire de Port Gentil pour détention de substances illicites. Inscrit dans les registres des services de renseignement comme récidiviste, ce dernier n’en est pas à sa première infraction.
Il a été placé sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt du Château en attendant son jugement, une fois de plus nous tenons à féliciter le travail acharné des forces de police nationale au sein de cette partie de pays, car cette arrestation mettra en alerte d’autres individus ayant pour passion pour le vol.
Faits Divers
Franceville: condamné à 2 ans prison & 200.000 Fcfa d’amende pour vol aggravé

[J]eune compatriote de 24 ans, Prince ANGOUROUA a été condamné à 2 ans de prison et à une amende de 200. 000 Fcfa pour vol aggravé avec violence, en ce mois de Mai 2025. Cette décision juridique s’est prise lors de l’audience faite par la correctionnelle du tribunal de première instance de Franceville, le chef-lieu de la province du Haut-Ogooué.
En effet, cette acte nefaste causé par le coupable, se produit dans la nuit du 5 Avril 2025, au quartier Montagne Sainte, dans le 2e arrondissement de Moanda, le chef-lieu du département de la Lebombi-Leyou. Aux environs de 19 heures, alors que la victime dénommé M.T.V rentre à son domicile, il reçoit un appel d’un membre de sa famille. Lors de sa conversation avec ce dernier, Prince ANGOUROUA bondit sur lui, le maîtrise à l’aide d’une prise communément appelée « clé 14 » et lui arrache son téléphone portable avant de disparaître dans la nature.
Sur le fait, la victime a lancé des appels à l’aide entendu par les riverains qui etaient dans les environs, prennent en chasse le malfrat, et réussissent à le neutraliser non loin de l’hôtel Buding, ensuite ils l’on directement conduit au poste de gendarmerie. Lors de sa prise de parole à la barre, ce dernier reconnaît les faits, « J’ai aperçu ma victime en train de marcher seule. J’ai donc décidé de lui dérober son téléphone dans le but de le revendre », a déclaré PA au micro de nos confrères de ‘l’Union ».
Après avoir suivis les réquisitions du ministère public, la correctionnelle du tribunal de première instance a rendu sa décision, une condamnation de 2 ans de prison ferme, ajouté à une amende de 200.000 Fcfa. Sans oublié que Prince ANGOUROUA a déjà été condamné à 1 an de prison pour les mêmes faits en 2022.
Au sorti de cet audiance, les autorités devrait multiplier des patrouilles des agents de police et de gendarmerie, visant à lutter contre ce fléau de la délinquance juvénile, afin d’assurer un peu plus la sécurité des populations qui subissent ce genre de vols et agressions, surtout dans les quartiers sous intégré, que se soit dans la capital ou dans l’intérieur du pays.
Faits Divers
Mouila: 130 bonbons de cannabis, une commerçante de manioc épinglée par l’OCLAD

Après la province de l’Ogooué maritime et celle du moyen Ogooué, c’est au tour de la province de la Ngounié où les agents de l’Office central de lutte antidrogue (Oclad) ont interpellé en flagrant délit, une jeune commerçante Gabonaise de 30 ans, au nom de Nefertitine Moghegne. C’est dans le cadre d’une mission de routine, effectuée le 3 mai 2925, que les OPJ ont réussi à mettre la main sur la concernée au village Ovala, située à 9 km du district d’Etéké, dans le département de l’Ogoulou.
En effet, Au cours de leurs patrouilles récurrentes, les Officiers de police judiciaire ont perquisitionné 130 bonbons de cannabis, dissimulés délicatement dans des emballages des produits alimentaires. Précisément dans le manioc, pour tromper la vigilance des policiers, afin de transporter cette substance illicite et ensuite d’aller la revendre dans son village.
À la fin de ces investigations, la trafiquante a été conduite au poste de police pour approfondir les enquêtes, avant d’être présentée devant le procureur de République. Au cours de son audition par l’instance juridique, des preuves accablantes ont établit clairement la culpabilité de la femme dealer. C’est la raison pour laquelle, le ministère Public a décidé de la placer sous mandat de dépôt à la prison centrale de Mouila, pour détention et vente de cannabis.
Dans une activité exercée principalement par les hommes, de nos jours, fort est de constater que la gente féminine se fait de plus en plus signaler dans des milieux jusqu’à peu réservé aux hommes. C’est peut-être là, la preuve manifeste de l’évolution des droits de la femme. Notamment sur la fameuse théorie de l’égalité homme femme.Mais peut-on s’en féliciter pour autant ?