Politique
Gabon/ Assemblée nationale: la séance des questions au Gouvernement reportée
Le début de la deuxième session du parlement de la 13e législature connaît quelques remous. Les parlementaires n’arrivent pas à travailler en commissions et en plénières pour de raisons de «d‘aménagement tardif» dans les nouveaux locaux depuis le 2 septembre dernier.
Le pouvoir législatif tourne au ralenti en ce début de rentrée parlementaire. Entre déménagement et installation sur le site occasionnellement aménagé, l’appareil législatif connaît un égrenage. Faustin BOUKOUBI, président de l’AN, perturbé par cette réalité, est bien obligé de reporter les questions au Gouvernement qui se tiennent chaque mercredi à une «date ultérieure». Le quotidien »l’Union » explique, dans sa parution du jeudi 19 septembre, que ce report est dû entre autres raisons à un «retard de déménagement de l’ancien site qui subit actuellement des travaux de réhabilitation».
Il ajoute que cette question de retard dans le déploiement de la logistique et du matériel est une contrainte majeure qui entrave le déroulement habituel de travaux en plénière et en commissions. En conséquence, La première activité en plénière à faire les frais de ce laxisme est le «jeu» de questions/réponses au Gouvernement.
«Le déménagement s’est avéré plus laborieux que prévu […] pour les services administratifs chargés de l’encadrement des différentes séances […] les modalités pratiques de retransmissions en direct ne permettent pas au président de lancer déjà la séance de questions au Gouvernement», a indiqué in extenso le communiqué du cabinet du président de l’AN.
Notons que l’exercice de questions au Gouvernement initié par les instances du parlement dès la première session de la législature, avait généré tout de même un intérêt auprès des populations en ce qui concerne la gestion publique au Gabon.
Politique
Reconstitution de la Cité de la Démocratie: OLIGUI NGUEMA satisfait des avancées
Le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA a procédé ce 14 décembre 2024 à la visite du chantier la Cité de la Démocratie.
Exécuté par la société turque Summa, ce projet d’envergure qui s’étend sur une période de 16 mois prévoit la construction d’un grand centre de conférence comprenant des salles de conférence, des bureaux administratifs, une salle de banquet, une salle de congrès, un carré VIP, une salle présidentielle.
Ce chantier prévoit également des travaux connexes tels que la construction de 55 villas dédiées aux Chefs d’État, un palais présidentiel, une clinique médicale, un zoo et un plateau sportif entre autres. Entamés depuis 4 mois, ces travaux sont exécutés par une main d’œuvre mixte composée de plus de 1350 personnes dont 900 nationaux.
Présente depuis une quinzaine d’années dans 14 pays dont 8 africains, l’entreprise Summa opère dans les secteurs du BTP, de l’énergie, des mines, de l’hôtellerie et de la santé. Exprimant son satisfecit sur l’avancement considérable des travaux, le Chef de l’État a instruit l’entreprise de respecter les délais de livraison dudit chantier.
Politique
Transition, Référendum & nouveau code électoral: OLIGUI NGUEMA en parle avec Denis SASSOU NGUESSO
Selon un communiqué de presse de la Présidence de la République, le chef de l’État gabonais, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, en marge de la cérémonie marquant la réouverture officielle de la Cathédrale Notre Dame de Paris, le 08 décembre 2024, à Paris, a échangé avec son homologue congolais, Denis SASSOU NGUESSO. La teneur de cette rencontre a porté notamment sur, le processus de transition, le référendum 2024, qui a vu une large approbation de la nouvelle Constitution et le nouveau code électoral, dont la composition de la Commission nationale chargée de son l’élaboration a été rendu publique par le porte-parole du CTRI.
Politique
Référendum 2024: score soviétique pour le Oui 91,80% des suffrages
C est à la faveur d’une déclaration d’une déclaration rendue public ce dimanche 17 novembre 2024 que le ministre de l’Intérieur Hermann IMMONGAULT a annoncé les résultats provisoires de l’élection référendaire qui s’est tenu le 16 novembre dernier. Ainsi, au terme d’un scrutin le oui l’a emporté avec 91,80% des suffrages exprimés.