Société/Environnement
Sobraga rénove & relance son usine de Mouila
Fleuron de la production de boissons de qualité dans la région, l’usine de Mouila a bénéficié d’une vaste campagne de travaux. Ces efforts se sont concentrés sur la modernisation des installations, l’amélioration de leur efficacité et l’adoption de mesures renforcées pour prévenir les risques d’inondation.
Après une année d’interruption due à des dégâts des eaux ayant sévèrement touché ses infrastructures, la Société des Boissons Rafraîchissantes du Gabon (SOBRAGA) annonce avec fierté la reprise des activités de son usine de Mouila. Cette réouverture marque une étape décisive pour l’essor économique et industriel du sud du Gabon.
Un impact économique et social significatif
La remise en activité de l’usine apporte des retombées positives à plusieurs niveaux :
Reprise des emplois directs et indirects : Les salariés de l’usine, temporairement redéployés dans d’autres sites de SOBRAGA, retrouvent leurs postes. De plus, des centaines d’emplois indirects, notamment dans la logistique et la distribution, seront également relancés.
Approvisionnement stable pour les consommateurs : Les habitants du sud du Gabon bénéficieront d’un accès régulier aux produits de SOBRAGA, répondant ainsi à leurs besoins essentiels.
Contribution au développement local : Avec cette réouverture, SOBRAGA consolide son rôle d’acteur clé dans le développement économique et social de Mouila.
Un engagement renforcé envers la durabilité
Face aux aléas climatiques qui avaient causé l’arrêt des activités, SOBRAGA a mis en place des innovations techniques majeures. Ces améliorations garantissent une résilience accrue aux inondations et intègrent des procédés de production respectueux de l’environnement, en cohérence avec les objectifs de durabilité de l’entreprise.
Un remerciement aux partenaires et clients
SOBRAGA tient à exprimer sa gratitude envers ses clients, partenaires et collaborateurs pour leur patience et leur soutien indéfectibles durant cette période de défi. Avec cette réouverture, l’entreprise réaffirme son engagement à offrir des boissons de qualité, produites avec passion et expertise.
En se tournant vers l’avenir, SOBRAGA se positionne plus que jamais comme un acteur essentiel pour le dynamisme économique de la région sud du Gabon, tout en renforçant son engagement pour une production durable.
Société/Environnement
Des éléments de la GR accusés d’abus de pouvoir au village ZANG-NAME
[D]ans la journée du mercredi 15 janvier 2025, aux environs de 11 heures, les ouvriers qui avaient pour mission de construire des toilettes modernes après avoir reçu la commande d’un fils du village, ZANG-NAME situé sur la route de Cocobeach dans la province de l’Estuaire, ont été surpris d’être interrompu par Sieur K D. Accompagné de 2 éléments nouvellement recrue à la Garde républicaine (GR), ces derniers vont donner l’ordre aux maçons d’arrêter les travaux de construction d’un WC. En brandissant des menottes et menaçant de faire embarquer manu militari, comme si c’était des officiers de la police judiciaire.
Naré par nos confrères de « 7 jours info », le propriétaire du terrain joins au téléphone depuis Libreville, va se rendre dans le village. Il trouvera son grand frère devant, et fera le constat que son WC n’est pas sur le terrain de la dame Fatou et de son fils. Lequel n’étant plus présent lors de l’arrivée du propriétaire du dit terrain. Par mesure de compréhension, un des membres de la famille va essayer de faire comprendre à la dame que le fameux WC ne se trouve pas sur son terrain, et qu’il a toujours là et ce depuis l’époque du défunt Paul EKOUAGHE ESSONE. La mère ne va pas l’entendre de cette oreille et va certainement informer son fils qui fera une descente avec 4 de ses collègues le jeudi 16 janvier 2025 à 14h cette fois ci avec 4 éléments.
Sans état d’âmes les agents de la Garde républicaine vont molester les ouvriers, menacer, exercer du trafic d’influence tout en passant par la destruction des biens d’autrui. Cela ne suffisant pas qu’une convocation du chef de village a suivi. Le propriétaire du terrain va donc se rendre en urgence au village avec un agent du corps judiciaire pour constater les faits mais, les mercenaires avaient déjà quitté les lieux.
Une situation qui remets en cause la tenue des enquêtes de moralité lors du recrutement des agents. Les abus de pouvoirs des agents de la GR n’est plus à souligner, car c’est un fait qui ne cesse d’être dénoncé. Quelles sont les mesures correctives que le président de la transition compte prendre face à des situations qui existe depuis des années ?
Société/Environnement
Gabon: un apport de 10% exigé pour bénéficier d’une moto tricycle
Le Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, le Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, a reçu le 15 janvier courant au Palais Rénovation le collectif des Jeunes des quartiers sous-intégrés, communément appelés État Major Général des Mapanes.
Cette rencontre qui s’inscrit dans la continuité de l’action du Chef de l’État en faveur de la promotion de l’entreprenariat des jeunes a été l’occasion de sensibiliser ces derniers sur l’importance de l’autonomisation.
Conscient des problèmes liés à la précarité dans ces quartiers, le Président de la République a annoncé la mise à disposition de 400 moto tricycles au bénéfice de ces jeunes, notamment des mototricycles Bennés, mototricycles électriques et des trycicles moto bâche.
Lesdits véhicules seront accessibles via un recensement des jeunes volontaires issus des différents quartiers de la capitale à l’instar de l’opération 1 jeune 1 taxi lancée en septembre dernier. Pour acquérir ces véhicules, d’une valeur allant de 1 à 3 millions de FCFA, les bénéficiaires devront apporter un dépôt initial de 10 % auprès de la Banque pour le Commerce et l’Entrepreneuriat du Gabon, qui aura la gestion de différentes modalités de remboursement adaptées aux bénéficiaires.
Tout en sensibilisant sur le fléau grandissant de la consommation des drogues, notamment les dangers liés à celle-ci, le Chef de l’État a rappelé que des sanctions Sévères seront appliquées aux récidivistes. Exprimant leur gratitude au Chef de l’État pour cette initiative les jeunes du collectif ont promis de faire bon usage de ces véhicules afin de contribuer au développement inclusif et durable du pays.
Société/Environnement
“J’ai un nom !”, le plaidoyer maladroit de Christine Audrey CHAMBRIER qui relève un “Gabon des uns et des autres “
Se pointer sur le service public, à une heure de grande écoute, clamer son innocence, comme dans un tribunal, puis flanquer à la face de ses compatriotes qu’on valerait mieux qu’eux, parce qu’héritière d’un “nom”, donc élue de Dieu, il faut avoir une sacrée paire d’ovaires. C’est bien à cet exercice inédit auquel s’est prêtée, ce 05 janvier 2025, gente dame Christine Audrey CHAMBRIER, ancienne Directrice générale de la Caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale (Cnamgs). Un instant de grand malaise, qui nonobstant un accoutrement sobre, tenue pagne, absence de boucles et de makeup n’ont pu faire oublier à ses concitoyens quelle ne partage pas leur itinéraire social.
Audacieux , dans un pays gardé captif, pendant plus d’un demi-siècle, par une famille et ses affidés qui n’ont eu pour seule compétence que leur ingéniosité à siphonner les caisses d’un État dont 39,2 % de la population vit sous le seuil de pauvreté, avec un taux de chômage estimé à 30 % comme dirait l’autre bagnard, «quelle indignité ! Nous sommes sur le service public ». Car tout compte fait, malgré cette fracture sociale perceptible, cette disparité sociale évidente, loin d’un doigt d’honneur adressé à ce Gabon périphérique, il serait judicieux, à l’ère du renouveau, de ne pas ouvrir la porte du vivre-ensemble avec une clef d’étranglement. «On a trop souffert !»
Avec une plaidoirie plus proche de celle de Jérôme CAHUZAC, ancien ministre français du Budget, que de…
Act 2 à suivre …