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Société

Libreville et Akanda privées d’électricité ce 26 février

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[C’]est par le biais d’un communiqué ce 23 janvier 2023 que la société de l’énergie du Gabon a annoncé le lancement des travaux de maintenance préventive sur le transformateur du poste source d’Ambowé . Ce dimanche 26 février 2023, la société d’eau et d’énergies du Gabon (SEEG) va lancer des travaux de maintenance sur une partie de son circuit de distribution d’électricité dans le grand Libreville. Pour ces travaux spécifiquement, il s’agira de remplacer le transformateur de tension du poste de source d’Ambowé d’une puissance énergétique de 90/20 KV.

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Ces travaux délicats, ne pouvant être exécutés en tension en raison des risques d’électrocution très élevés pour les agents. Le 26 février, ce sont donc pas moins de 41 quartiers de Libreville et d’Akanda qui seront privées d’électricité pendant la durée des travaux. Néanmoins, la société créée en 1950, vise à terme, la minimisation des risques de désagréments pour les consommateurs et pour elle-même, sur son réseau d’exploitation.

Notons que ces travaux sont possibles grâce à la mobilisation en 2022 de 100 milliards FCFA par la BGFIbank pour financer les projets de la SEEG. Le but de ces fonds étant de financer pendant 5 ans les projets d’eaux et d’électricité à Libreville et ses communes environnantes, Port-Gentil, Franceville et Makokou. Pour cette phase, ce sont plusieurs centaines de milliers de gabonais résidants dans les communes de Libreville et d’Akanda qui ont été choisis.

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Société

Airtel Gabon inaugure son nouveau réseau fibre optique

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Ce 29 septembre 2024, en présence du ministre de l’Economie numérique, le Général de brigade Bonjean Rodrigue MBANZA et d’une délégation de l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP), Airtel Gabon a procédé à l’inauguration d’un nouveau réseau de fibre optique. Qui, va révolutionner l’accès à Internet à Libreville et Port-Gentil, rendant ainsi d’une meilleure qualité , la connexion à l’Internet haut débit.

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Long de 208 kilomètres, le réseau de fibre optique de nouvelle génération devra permettre de connecter l’ensemble des tours d’Airtel à Libreville et Port-Gentil, améliorant ainsi la fourniture des services internet mobile dans ces grands centres urbains. Ce, en cohérence avec l’ambition du Gabon de combler la fracture numérique, et soutenir la croissance économique et de créer des opportunités pour les citoyens et les entreprises du pays.

Un point sur lequel le Directeur général d’Airtel Gabon, Thomas Herbert GUTJAHR a insisté, rappelant que «l’investissement de 4,3 milliards de FCFA dans ce projet est bien plus qu’une réponse à la demande croissante en connectivité. En effet, ce réseau de fibre optique est perçu comme un moteur de développement pour l’avenir du Gabon. Il s’agit d’une avancée majeure qui favorisera non seulement l’accès à un internet de meilleure qualité, mais aussi la création d’emplois et l’amélioration des conditions de vie».

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Le projet devra employer 350 travailleurs gabonais, ce qui témoigne de son impact économique immédiat. Le directeur général a également mis l’accent sur les nombreuses opportunités qu’il pourrait ouvrir à long terme, notamment dans des secteurs clés comme l’éducation, la santé et les services publics. La fibre optique est ainsi une infrastructure stratégique qui pose les bases d’une économie numérique prospère, tout en renforçant la compétitivité du Gabon à l’échelle régionale.

Pour le Ministre de l’Économie Numérique, le Général de Brigade Bonjean Rodrigue MBANZA a souligné, lors de son allocution, que cette infrastructure de fibre optique marque une étape décisive dans l’amélioration des services numériques pour les citoyens. Car, «en améliorant la connectivité internet, nous jetons également les bases d’une croissance économique durable et de la création d’emplois dans le secteur numérique,» a-t-il déclaré.

Le rôle de l’ARCEP a également été crucial dans la concrétisation de ce projet. En veillant à la régulation des communications électroniques, l’ARCEP contribue à garantir un cadre favorable pour le développement de telles initiatives. Leur participation active à la cérémonie d’inauguration démontre l’importance de la collaboration entre le gouvernement, les régulateurs et le secteur privé dans la réussite de cette transformation numérique.

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Société

Gabon: la plateforme « La jeune garde » se mobilise pour l’école protestante de Nkoltang

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C‘est une immense surprise pour les dirigeants de l’école protestante de Nkoltang, d’avoir été honorés d’un généreux don de travaux aussi bien que de matériel de reprograhie.  Un acte de solidarité que le proviseur de l’établissement doit à la plateforme « La Jeune Garde », qui n’a de cesse d’initier des actions à fort impact social.

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Et c’est par des actes significatifs que l’association s’est encore illustrée cette année. Alors que la rentrée des classes se poursuit au sein des établissements scolaires, la structure associative a procédé à l’aménagement des toilettes, la réfection de la pancarte de l’école ainsi que la remise d’une photocopieuse, un équipement indispensable pour le bon fonctionnement administratif de l’établissement.

Pour Pierre MBO OBIANG, directeur de l’école protestante de Nkoltang, la satisfaction est immense. En effet, a-t-il déclaré, «nous sommes particulièrement reconnaissants pour cette aide qui va grandement améliorer nos conditions de travail et celles de nos élèves. L’aménagement des toilettes et la dotation en matériel administratif étaient des besoins urgents que nous n’aurions pas pu satisfaire seuls» a-t-il déclaré.

Pour La Jeune Garde qui poursuit son engagement en faveur de l’éducation et du développement communautaire. Ces efforts permettent non seulement de soutenir des établissements scolaires historiques comme celui de Nkoltang, mais aussi de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des jeunes générations

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Gabon: lorsque les grévistes défient le Président de la Transition et son gouvernement

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Quel épilogue tragique nous réserve cette sombre scène orchestrée par les secrétaires généraux des syndicats de la Comilog, en connivence avec un activiste politique ? Le plan manigancé semble presque impénétrable, tant les protagonistes ne se gênent plus pour camoufler les manœuvres sous-jacentes. À l’extérieur, on agite le spectre ethnique et on appelle à l’insurrection sous la houlette dudit activiste, tandis qu’en interne, une faction des travailleurs est manipulée avec une habileté inquiétante.

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Iront-ils jusqu’à verser du sang pour semer le désordre et défier l’autorité établie ? La question n’est plus aussi lointaine qu’on pourrait l’espérer. Le « gang des 7 salopards », comme on les appelle désormais à Moanda, ne semble reculer devant rien, quitte à se dresser face au Président de la République lui-même. Un affront des plus graves, à n’en pas douter.

Pourtant, il y a à peine quelques mois, en mars 2024, le Général de Brigade, Chef de l’État, avait solennellement appelé à une trêve sociale. Une initiative visant à préserver la paix et la stabilité du pays en cette période exceptionnelle. Pierre MINTSA, leader syndical respecté et mandataire du Président OLIGUI NGUEMA sur les lieux, l’a rappelé sur les antennes de Gabon24 : « Nous avons tenté de rapprocher les deux parties, mais il est clair que trois de nos camarades syndicalistes n’ont jamais voulu engager le moindre dialogue. Avant de quitter Moanda, nous avions convenu d’une rencontre entre les SG des syndicats, l’ADG de la Comilog et le PCA. Le jour venu, nos camarades ont tout bonnement boycotté cette réunion. »

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Ce témoignage accablant d’un leader syndical, reconnu pour ses combats en faveur des travailleurs, tant dans le secteur public que privé, révèle que cette confrontation n’a jamais eu pour objectif le bien-être des employés ni la paix au sein de la communauté. Ce qui ressort, c’est que la partie est faussée dès le départ, les « 7 salopards » n’ayant pour autre agenda que leurs intérêts personnels, reléguant au second plan leurs collègues et les citoyens de Moanda.

Ils osent même récuser le ministre des Mines, pourtant choisi comme médiateur par eux-mêmes. Ce dernier, figure clé dans les délégations internationales du Président de la République, se voit injustement attaqué pour avoir maintenu son rôle aux côtés du Chef de l’État dans des missions de la plus haute importance. Une farce presque risible, si la situation ne menaçait pas de basculer vers un chaos total.

Le Président de la République se laissera-t-il intimider par ces provocateurs ? Voilà la question qui brûle sur toutes les lèvres à Moanda et au-delà. Comment le Chef de l’État peut-il tolérer un tel affront, alors que ces syndicalistes mettent sciemment à mal sa politique de redressement et de réformes ?

Quelle serait la valeur des décisions des actionnaires d’une entreprise réunis au sein de son conseil d’administration si, demain, quelques employés, drapés sous la bannière syndicale, pouvaient s’octroyer le droit de décider de qui mérite de diriger une société ? Si ce précédent venait à se confirmer, il pourrait gravement compromettre la politique d’attractivité des investisseurs internationaux. Qui voudrait investir dans un pays où des syndicalistes, mus par des intérêts personnels pernicieux, peuvent à tout moment déstabiliser les entreprises par pur caprice ?

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Il est clair qu’à travers leurs actions, ces syndicalistes ne défient pas seulement une entreprise ou son administration. Ils s’attaquent frontalement à l’autorité du Chef de l’État et à la stabilité d’une nation. Il est temps de rappeler que le bien-être collectif et la sécurité nationale ne sauraient être pris en otage par une poignée d’individus. À bon entendeur.

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