Société/Environnement
Libreville: des pas de danse aux TP en guise de protestation mais pas pour le départ de BOUNDA BALONZI
Les agents du ministère de l’Equipement des infrastructures et des travaux publics sont sur les piquets de grève depuis mardi 13 septembre 2022. Manifestant de manière pacifique, c’est par l’esquisse de quelques pas de danse, au son de casseroles et instruments de musique de fortune qu’ils expriment leur ressentiment. Non pas à l’adresse de l’ex-ministre BONDA BALONZI, mais pour revendiquer, entre autres: l’acquisition du matériel roulant lourd et léger, le paiement de la prime d’incitation à la performance (PIP), le rétablissement de la prime de rendement ainsi que l’exécution des jugements sociaux des agents de la main-d’œuvre non permanente (MONP) licenciés abusivement et le paiement de la prime de logement de cette catégorie d’agents. Dixit le secrétaire général du Synapro-BTP-AT, John-Sidoine CHOLO au micro de nos confrères de la chaîne de télévision privée “TV+ Afrique”, «quand ces points de revendications seront réglés, vous pourriez-voir les bâtiments ouverts afin que de poursuivre le travail en commission. Tant que ce n’est pas fait, le portail reste fermé». Pour les agents, le non paiement de la PIP ne s’explique pas, au regard des capitaux que génère leur ministère. Il faut d’ailleurs rappeler que ce n’est pas la première fois que le ministere des TP est secoué par une grogne des agents. Le 08 janvier 2022, un mouvement de grève y avait déjà été lancé. Toujours pour les mêmes points de revendications.
MEZ
Société/Environnement
Gabon: Booster une marque internationale à la qualité irréprochable
Face aux allégations répandues sur les réseaux sociaux concernant la marque de boisson Booster, la Société des boissons rafraichissantes du Gabon (SOBRAGA) via un communiqué parvenu à notre rédaction, dément formellement tout ce qui se dit sur la toile et tient à rassurer les consommateurs. Ci-dessous l’intégralité du communiqué.
Société/Environnement
Hermann KAMONOMONO élu Président du Réseau Habitat et Francophonie
Hermann KAMONOMONO, Directeur Général de la Société Nationale Immobilière (SNI) du Gabon, a été élu à la tête du Réseau Habitat et Francophonie (RHF) par ses pairs lors de la 56ᵉ Assemblée générale de l’organisation, tenue le 10 novembre à l’Hôtel Manoir Victoria, Québec. Il succède au Belge Vincent SCIARRA, Directeur Général du Fonds du Logement de Wallonie, assurant ainsi une continuité dans l’engagement pour des politiques innovantes en matière de logement.
Créé en 1987, le Réseau Habitat et Francophonie (RHF) est une organisation internationale visant à faciliter l’accès à un logement sain, décent et financièrement abordable. Le RHF partage les valeurs d’humanisme et de solidarité propres à la Francophonie et poursuit principalement trois missions : échanger, proposer et agir pour un logement décent et abordable ; développer des partenariats, former et informer les professionnels du logement abordable ; et faire connaître et mieux comprendre le secteur du logement abordable à travers la recherche et la prospective.
Réunissant des experts et décideurs francophones, cette assemblée avait pour thème « Surmonter la crise du logement en mode solutions », soulignant les stratégies et initiatives nécessaires pour relever les défis globaux liés au logement.
Hermann KAMONOMONO, reconnu pour son expertise dans les questionsd’habitat et de logement, est également Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers du Gabon et Vice-président de l’Union Africaine des Promoteurs Immobiliers.
Son élection à la tête de RHF par ses pairs pour un mandat de 3 ans témoigne de la confiance placée en sa capacité à impulser une nouvelle dynamique pour le développement durable de l’habitat au sein de l’espace francophone.
Société/Environnement
85.000 femmes et jeunes filles tuées dans le monde en 2023
En 2023, au moins 85.000 femmes et jeunes filles ont été tuées de manière intentionnelle dans le monde, dont 60% par «leur conjoint ou d’autres membres de leur famille». Soit 140 chaque jour ou une toutes les 10 minutes. Un «niveau alarmant» pour des meurtres qui pourraient pourtant être «évités», selon un rapport de l’Office viennois des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et de l’organisation new-yorkaise ONU femmes publié lundi 25 novembre.
Selon l’organisation mondiale, le phénomène «dépasse les frontières, touche toutes les catégories sociales et groupes d’âge». Les Caraïbes, l’Amérique centrale et l’Afrique sont les régions les plus touchées devant l’Asie. Les membres de la famille y sont le plus souvent en cause, tandis que sur le continent américain et en Europe, les féminicides sont majoritairement perpétrées par le partenaire. «La maison reste l’endroit le plus dangereux» pour les femmes.