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Société/Environnement

Libreville: le Comité d’organisation du séminaire de formation des reporters & journalistes sportifs remercie le DG de EDG

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À la sortie du séminaire de formation des journalistes et reporters sportifs à E-Gabon, baptisé Acte 1, qui s’est déroulé du 28 au 30 septembre 2021, le Comité d’organisation dudit séminaire, a tenu à remettre à ses partenaires et sponsors des attestations de remerciement et le rapport de cette séance du donner et du recevoir. De ce fait, le 26 octobre 2021, dans le respect de ses engagements, ce fut le tour du Directeur général de l’Épargne et Développement du Gabon (EDG), Jean Robert OBIANG OBIANG, de recevoir des mains du Directeur de publication du journal Convergence Afrique, Joseph Keurtys MABIMBA, et du Consultant international MCCA, Francis Edgard SIMA MBA, représentant le collège des Experts/Formateurs, ces documents pour sa contribution dans ledit séminaire.

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Tenant à rendre un hommage à la Microfinance EDG, comme cela a été le cas avec le Directeur général de la Promotion de l’Économie numérique, Raphaël MEZUI MINTSA ; le directeur de publication du Magazine Émergence, Rodrigue Maïssa NKOMA ; en passant par le Directeur général de la CNNII, Carl NGUEBA BOUTOUNDOU, pour leur soutien et accompagnement financier à l’organisation du récent séminaire de formation, Jean Robert OBIANG OBIANG, a lui aussi reçu une attestation et un rapport du séminaire. 

Tout en félicitant et encourageant les organisateurs dudit séminaire, pour sa part Jean Robert OBIANG OBIANG a en retour exprimé son sentiment de satisfaction et aussi de reconnaissance pour le geste porté sur l’entreprise qu’il dirige «c’est un honneur pour moi de vous recevoir et au nom de EDG l’entreprise que je dirige, vous dire qu’il est rare d’avoir un tel retour après un évènement bien qu’ayant soutenu, et pour l’initiative, je tiens à vous féliciter une fois de plus, à continuer sur cette dynamique et vous assure de l’entière disponibilité de EDG à vous accompagner car cela participe aussi de la promotion et le développement de votre secteur d’activité», a-t-il avancé.

 Avant de poursuivre, «en tant qu’acteur économique national, le devoir sociétal est de soutenir de telles initiatives portées par de jeunes entreprises gabonaises. C’est d’ailleurs une opportunité pour EDG d’être partenaire, car le monde bouge, nous prônons l’excellence, c’est la raison pour laquelle nous avons accepté de vous accompagner, je vous encourage à multiplier de telles initiatives trois à quatre fois sur 12 mois de l’année question d’être toujours au-devant de la scène et être compétitif, dans le noble métier que vous pratiquez au quotidien». 

Il est urgent de multiplier ce type d’initiative afin de renforcer les capacités des confrères au sein de la corporation, et de se positionner désormais comme la plaque tournante d’un véritable creuset du donner et du recevoir, rempli du savoir au pas de l’excellence sur le plan national et international, prôné par les plus hautes autorités du pays en tête desquelles le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA (ABO) dans sa vision du Plan de l’Accélération de la Transformation (PAT).

À travers cette initiative de formation, la vision du président de la République s’est vue être matérialisée, notamment selon le pilier formation qu’il prône tant pour le développement du pays. Le rendez-vous a donc été donné au directeur général de EDG pour l’acte 2, un Tutorat dont les préparatifs vont bon train. L’événement est prévu du 13 au 18 décembre 2021.

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Syndicat ou instrument politique ? Les vérités cachées de la fronde au ministère des Mines

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Derrière les appels à la mobilisation et les discours en faveur de la justice sociale, des révélations troublantes jettent le trouble sur la sincérité du mouvement d’humeur initié par le Syndicat des professionnels du ministère des Mines et des Ressources géologiques (Sypromines). En toile de fond : intérêts particuliers, privilèges controversés et soupçons de manipulation interne.


Selon des informations émanant de sources fiables, tout aurait commencé par des doléances pour le moins atypiques. Le syndicat, dirigé par Gisèle Nyangui, aurait exigé du ministre Gilles Nembé qu’il remanie son cabinet. Une revendication inhabituelle pour une organisation syndicale, traditionnellement centrée sur les conditions de travail. Une source interne, sous couvert d’anonymat, s’interroge : « Depuis quand un syndicat décide-t-il de la composition d’un cabinet politique ? »

Des revendications au parfum de privilèges

Autre point de friction : la demande d’un véhicule de liaison et d’un budget de fonctionnement spécifique pour le syndicat. Des requêtes rarement vues dans la sphère administrative, qui soulèvent des interrogations sur la bonne utilisation des ressources publiques.

Autre sujet de discorde selon Mme Nyangui : la suspension du paiement de formations continues  par le ministère de  l’Économie.  Sauf que ces formations, qui coûtent près de 500 millions de francs CFA, n’auraient, après vérification, pas toujours été réalisées. Une enquête administrative évoque des sessions « inexistantes ou partiellement exécutées« , et des justificatifs « non conformes« .

Plus dérangeant encore, des sources sûres informent de ce que la présidente du syndicat aurait tenté, en vain,  de faire inscrire les noms de ses proches dans les listes des postes budgétaires octroyés par le chef de l’État, au détriment des Gabonais dûment enregistrés. Une contradiction flagrante avec son discours public, et qui entame davantage sa crédibilité.

Des hauts cadres du ministère en embuscade

Enfin, plusieurs sources pointent une instrumentalisation du mouvement par certains hauts responsables de l’administration, tapis aussi bien au niveau du Secrétariat général que dans certaines  directions techniques. Ces derniers sont soupçonnés d’avoir détourné des fonds liés à l’attribution des cartes d’Expart. Et le timing de cette agitation coïncide étrangement avec une intensification des contrôles à ce sujet.

Un ministre ferme, un message clair

Dans ce contexte, le ministre des Mines et des Ressources géologiques, Gilles Nembé, a tenu à recadrer le débat : « Notre devoir est de servir la République, pas des intérêts privés ou corporatistes. Le président Brice Clotaire Oligui Nguéma nous appelle à une transformation en profondeur. Le ministère des Mines doit être un pilier de la diversification économique du Gabon. Cela passe par l’équité, la rigueur, et l’abandon des pratiques du passé. »

Finalement, que reproche-t-on réellement au Ministre?

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Déguerpissements Owendo , Plaine-Orety & Cie: la modernisation du grand Libreville à l’épreuve des faits

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Depuis début Juin 2025, les populations de la Commune Libreville, puis celles d’Owendo vivent au rythme des opérations de déguerpissements aux fins de moderniser Libreville et sa périphérie. Avec en toile de fond les projets structurants axés sur l’intérêt général. Seulement, si cet objectif louable, initié par le nouveau Président de la République, Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA (C’BON), est compris de tous, la méthode utilisée interroge plus d’un. Quand elle ne laisse pas certains dans le désarroi total, elle suscite chez de nombreux autres compatriotes une psychose généralisée . Mais, sur quel fondement juridique s’appuie la puissance publique pour mener ces opérations de déguerpissement ?

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Plaine-Orety, Derrière l’Assemblée nationale, les charbonnages, le carrefour SNI, Owendo et en perspective d’autres zones, l’objectif reste le même: arrimer la capitale gabonaise à d’autres villes modernes du continent. L’État dans sa volonté de contrôler et de maîtriser son domaine public mais également son domaine privé, a décidé de mener lesdites  opérations. En effet, la “loi 14/63, du 8 Mai 1963” «fixant la composition du Domaine de l’État et les règles qui en déterminent les modes de gestion et d’aliénation», aussi bien de son domaine public que de son domaine privé en constitue le fondement juridique.

Il convient de préciser que l’Etat jusqu’à lors n’a procédé qu’aux déguisements des personnes des différents domaines précités. Appesantissons nous sur la notion de déguerpissement. Déguerpir :  c’est l’action de chasser une personne qui occupe un espace qui ne lui appartiendrait pas ou non constructible. Aussi, il convient de préciser que la notion de déguerpissement n’est nullement encadrée par les textes et lois en vigueur en République gabonaise. De ce fait, l’État étant confronté à des impératifs multiformes a donc jugé de prendre les mesures qui s’imposent.

Contrairement à C’BON, le cas des démolitions d’Ali BONGO (ABO) en 2011 dans le cadre de l’opération baptisée « Libérez les trottoirs », avec pour argument majeur l’organisation d’un événement festif qu’était la Coupe d’Afrique des nations 2012 en fait jurisprudence. Détruisant au passage, comme l’indique aujourd’hui son ancien Premier ministre Alain Claude BILIE-BY-NZE (ACBBN), «des habitations, des commerces et des vies». Avec des effets tant attendus sur le plan économique.

Toutefois, ayant à cœur le bien être de ses concitoyens, l’actuelle administration face aux nombreux déguerpissements en cours à Plaine Orety et ses alentours a décidé de créer une commission mixte chargée de proposer des solutions « justes et équitables » pour toutes les parties concernées. C’est également le cas pour la commune d’Owendo où le Délégué spécial, le Gle de division Arnaud Sandri NOMBO, a d’ores et déjà indiqué un probable report des délais, allant de 48h pour certains, 72h pour d’autres à plus.

JNIII

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Formation ferroviaire: 15 jeunes Gabonais diplômés du programme « Tremplin » porté par Setrag et Eramet

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Le Gabon célèbre la première promotion du programme de formation « Tremplin » en ferroviaire. Quinze jeunes Gabonais ont reçu leurs diplômes lors d’une cérémonie solennelle tenue au siège de Setrag à Owendo, le 20 juin 2025. Cette initiative inédite, portée par la Société d’exploitation du Transgabonais (Setrag) et le groupe minier Eramet, vise à créer un vivier local de professionnels capables de répondre aux besoins croissants du secteur ferroviaire gabonais.

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Les bénéficiaires ont suivi une formation de 16 mois, alliant théorie et pratique, dans trois pays : le Gabon, le Maroc et la France. Ce programme, lancé en mars 2024, a permis aux jeunes ingénieurs d’acquérir des compétences pointues dans les métiers du ferroviaire.

Le représentant d’Eramet au Gabon, André MASSARD, a salué l’initiative comme étant «l’incarnation des valeurs du groupe : l’engagement et la performance». Le Directeur Général de Setrag, Christian Magni, a insisté sur l’importance de cette formation dans le paysage socio-économique actuel, soulignant l’engagement concret en faveur de l’emploi des jeunes.

Le gouvernement gabonais a également exprimé son soutien à cette initiative, qui s’inscrit dans les grandes orientations du Plan national de développement. Les diplômés sont appelés à jouer un rôle clé dans la modernisation et le développement du réseau ferroviaire national.

Cette première promotion du programme « Tremplin » est un exemple de collaboration réussie entre entreprises et institutions pour former la relève nationale et contribuer au développement économique du Gabon.

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