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Transparence budgétaire: Le département d’Etat américain reconnaît les “efforts significatifs” du Gabon soutenus par l’action du CGAP

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On peut dire que les conclusions du département d’État américain ne laissent place à aucune once de doute, quant à la contribution de la nouvelle équipe présidentielle emmenée en second par le Coordinateur général des affaires présidentielles (CGAP), Noureddin BONGO VALENTIN, collaborateur et fils de l’actuel Président de la République, Ali BONGO ONDIMBA (ABO), pour les progrès enregistrés par le Gabon, en matière de transparence budgétaire. Faisant ainsi figurer le pays au rang des meilleurs élèves du classement annuel sur le niveau de transparence budgétaire des pays africains, ceux dont les efforts sont reconnus «tangibles et rapides».

En effet, deux ans après l’éviction à la direction du cabinet d’ABO, de Brice LACCRUCHE ALIHANGA (BLA) en 2019, à l’origine de l’un des plus gros scandales financiers de l’histoire du pays, qui l’aura d’ailleurs conduit en prison jusqu’à ce jour, l’État gabonais a engagé de nombreuses actions pour améliorer la lutte contre la corruption. À cet effet, le Coordinateur général des affaires présidentielles qui a la gestion des questions budgétaires a mis en place un processus de restructuration des finances publiques.

Ainsi, à la suite de l’opération anti-corruption “Scorpion” qui a porté ses fruits, révélant de nombreuses malversations des deniers publics, Noureddin BONGO VALENTIN a initié une task-force sur la dette intérieure qui a permis de déterminer que les 2/3 de cette dette était en réalité fictive ! En effet, «on observe un changement radical dans le mode de gestion depuis l’arrivée d’une nouvelle équipe à la Présidence de la République gabonaise», observe l’un des auteurs du classement américain.

Tous ces efforts ont été déterminants pour le Gabon, qui a depuis ces réformes enregistré de nombreux succès sur de nombreux plans. Déjà sur le plan sanitaire, où il a été cité en exemple pour sa capacité de résilience économique face à la pandémie de la Covid-19. Mais également à l’échelle internationale où l’État gabonais a une fois de plus remporté l’adhésion du Fonds monétaire international (FMI) qui a décidé de l’accompagner dans un nouveau plan triennal, en lui accordant un prêt de 120 milliards de Fcfa sur 3 ans.

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