Connect with us

Faits Divers

Kango : un sujet Equato-guinéen, divorcé, transforme ses deux filles, mineures en objets sexuelles et en vendeuses de cannabis

Published

on

A Kango, chef-lieu du département du Komo, dans la province de l’Estuaire, Crisantos NZE MBA OYANA, ressortissant Équato-guinéen d’une quarantaine d’années, est accusé par ses deux filles B.O.M. et C.M.M. âgées respectivement de 14 ans et 13 ans, de les avoir violées.

Banner

Selon nos confrères de “l’Union”, les faits remontent à deux ans, alors que MBA OYANA est divorcé depuis 10 ans, pour violences conjugales. Ses filles, B.O.M et C.M.M., 12 ans et 11 ans à l’époque, ont vécu avec leur mère depuis 2007, année du divorce, avant que celle-ci n’accepte de les confier à leur père, qui réclamait leur garde.

C’est ainsi que courant 2017, la plus jeune des filles est envoyée à Mfang, quartier de Kango, chez son père. À en croire les sources policières contactées par le quotidien national, le Crisantos NZE se serait livré à des abus sexuels sur sa petite fille dès son arrivée, de même qu’il la battait régulièrement. Six mois plus tard, c’est au tour de l’aînée de les rejoindre et de subir le même traitement abominable.

« Les deux jeunes filles ont vécu un véritable enfer pendant deux ans. Et gare à celle qui osait discuter avec le voisinage. C’était la bastonnade assurée», confie une source autorisée. D’après cette même source, le père incestueux, qui est également un trafiquant de drogue, aurait aussi fait de ses filles des vendeuses de cannabis, les mettant en contact avec ses propres fournisseurs.

Le vent tournera pour les deux filles à la faveur du mariage de leur oncle maternel à Ntoum, dans le département du Komo-Mondah. Présentes pour le week-end des festivités, les deux jeunes filles éclateront en sanglots au moment de partir. Cette curieuse attitude va amener leur oncle nouvellement marié à les interroger. C’est sur ces entrefaites qu’elles vont se mettre à raconter le calvaire qu’elles ont vécues chez leur géniteur. Suite à quoi, leur mère déposera une plainte à la brigade-centre de Kango. Crisantos NZE MBA OYANA sera mis aux arrêts le 20 juin 2019, puis présenté au procureur de Libreville quatre jours plus tard. Il sera ensuite écroué à la prison centrale après audition par un juge d’instruction.

Continue Reading
Click to comment

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Faits Divers

Ntoum /De l’amitié à la machette: sa vie sauve grâce à des passants

Published

on

Prévenir la trahison, débusquer le faux ami, le jaloux parent, le traître avant qu’il inocule son venin est une opération aussi complexe que de nettoyer l’anus d’une hyène”, disait Ahmadou KOUROUMA. Gédéon M.A, un gabonais âgé de 26 ans l’a bien compris … à ses dépens. Ce, après avoir été extirpé des griffes de la mort, que lui réservait ses 3 amis, le 30 juillet 2024, par des personnes de bonne volonté. 

Banner

Den, Arnold et Lesmy-Dev assurent que tout serait parti d’un manque de respect. Entre “ragots”, intrusion et par-dessus tout le braquage de la mère de l’un des éléments de la bande par la victime, selon l’un des membres du trio vengeur, ils souhaiteraient vivement en découdre avec leur “faux-ami”. 

Après l’avoir activement recherché pendant plusieurs jours dans toutes les artères de la ville de Ntoum, les 3 amis vont finalement retrouver l’évadé dans la nuit de mardi. L’entraînant dans un coin reculé de la ville, ils l’auraient poignardé sur tout le corps avant de le conduire sur les rails. Où, à l’aide de machettes, ils auraient découpé des parties du corps de Gédéon, informé “L’Union”. 

Ligotée, la victime va y être laisser pour morte, par ses assaillants après avoir perdu connaissance. C’est dans ces conditions que le jeune homme aurait été retrouvé par un passant, qui, à l’aide d’autres riverains, l’auraient conduit d’urgence à l’Hôpital d’instruction des armées du PK9, où sa vie a été mise hors de danger. Alors que ses agresseurs ont été placés sous mandat de dépôt à la prison centrale de Libreville.

Continue Reading

Faits Divers

Port-Gentil /Terrain à plusieurs propriétaires: incarcérée pour escroquerie 

Published

on

Au Gabon l’on n’en finit pas de s’insurger des histoires de terrains aux multiples propriétaires. La plaine d’Ayeme, dans la commune de Ntoum en est un illustre exemple.  Si de nombreuses affaires seraient en cours selon des sources bien informées de la localité, à Port-Gentil, le parquet vient d’acter l’incarcération de dame Eugénie K. NDJIMBI, à la prison du château, pour escroquerie et abus de confiance, précise “L’Union”. Ce, après avoir vendu sa parcelle, sise au quartier Trois Filaos à de nombreux individus dont elle percevait des sommes d’argent.

Banner

Yann O. (34 ans), Larry D. (49 ans), Valérie M.M. (49 ans) et Rodrigue B (43 ans) tous des gabonais, qui auraient versé d’importantes sommes d’argent à la propriétaire du terrain. Pour tous les acquéreurs convaincus d’être les nouveaux propriétaires jusque-là tout allait bien. Jusqu’à ce que le dernier cité décide d’entreprendre des travaux sur son acquisition, mais se retrouve nez à nez avec un autre, se présentant comme propriétaire.

Dès lors, une plainte est déposée contre la vendeuse, qui a été rapidement interpellée par les éléments de la police judiciaire, avant d’être présentée devant le parquet de la ville, qui l’a placée sous mandat de dépôt pour escroquerie. Il est à croire que les sanctions appliquées contre les auteurs de ces agissements ne sont pas assez sévères. Car les récidivistes semblent ne plus avoir crainte des autorités judiciaires et vendent même des biens qui ne leur appartiennent pas aux éléments de forces de l’ordre, les impliquant dans des agissements illégaux. 

Continue Reading

Faits Divers

Akanda /Viol en réunion d’une élève du lycée Mbélé: tout ne serait qu’un mensonge !

Published

on

On le dira jamais assez, la jeunesse se livre à des délits en tous genres dont ils ne soupçonnent ni la portée, encore moins les conséquences. Les internautes avaient été émus par l’affaire du viol d’une jeune lycéenne inscrite en classe de terminale, au lycée Mbélé d’Angondjé. Suivant des versions reprises de la famille de la prétendue victime, le forfait qui se serait produit dans la nuit du 30 au 31 mai 2024, aurait été commis par une bande de 10 garçons, qui ne seraient autres que ses condisciples de classe, menés par l’un d’eux, fils d’un haut gradé de l’armée.

Banner

C’est au terme d’une enquête menée par les services de forces de police nationale, et la pression exercée par sa mère, que la jeune fille de 16 ans va revenir sur sa version. Laquelle révèle que s’étant rendue à une fête avec ses condisciples de classe, la jeune adolescente aurait consommé de l’alcool et d’autres substances. Avant de passer la nuit chez l’hôte de la soirée, d’où elle sortira dès les premières lueurs du jour, pour se rendre chez un de ses beaux-frères, au lieu-dit Premier campement, révèle “L’Union”.

Retrouvée dans les environs, elle aurait alors «menti», selon un source judiciaire citée par le quotidien, à ses parents, qui ont immédiatement répandu la version de leur enfant sur la toile. Où, l’identité de l’officier supérieur avait même été réclamée, puis dévoilée, alors que les internautes exigeaient que son fils et ses complices soient arrêtés et incarcérés. Notamment à l’évocation des prétendues intimidations par lesquelles l’homme des corps habillés se serait illustré vis-à-vis de la famille de la jeune fille.

C’est donc la réputation d’un établissement, d’un jeune, d’une famille qui auraient été entachées par un individu, qui aurait simplement choisi de ne pas assumer la responsabilité de ses actes. Une affaire qui nous rappelle bien l’importance de se rapprocher des services compétents avant de choisir de rendre publiques les identités des personnes prétendument impliquées dans une affaire. Au risque de les exposer en vain.

Continue Reading

S’inscrire à notre liste de diffusion WhatsApp

Banner

Banner
Banner
Banner

Abonnez-vous à notre newsletter

Oh salut 👋
Nous sommes ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir les dernières actualités dans votre boîte de mail.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Copyright © 2019 - 2023 Vox Populi. Tout droits réservés.