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Bitam : “c’est moi qui ai t*é Dallas” avant de la br*ler, dixit le petit ami

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Les populations de la commune de Bitam, chef – lieu du département du Ntem, dans la province septentrionale du Gabon, sont sous le choc depuis la matinée du 13 octobre 2022, après l’effroyable découverte du corps, presque complètement calciné, de la jeune Dallas, une compatriote âgée de 17 ans et inscrite au lycée public Simon Oyono Aba’a de Bitam. Dans un 1er temps, l’on a cru que l’élève avait perdu la vie dans l’incendie qui s’est déclaré, aux environs de 4h du matin, à son domicile, au quartier Essangui, dans ladite commune. Cependant, l’enquête a révélé une vérité encore plus sombre : Dallas a été assassinée par son petit ami, Joël qui, par la suite, a allumé cet incendie, pour dissimuler son crime.

En effet, entendu depuis le 13 octobre 2022, par les éléments de la police judiciaire de Bitam, Joël a avoué que son geste a été motivé par le fait que Dallas avait décidé de le quitter pour un autre homme. Une situation qu’il n’a pas pu supporter. S’en est alors suivie une violente dispute au cours de laquelle l’indélicat aurait étranglé la jeune fille avant de la laisser inconsciente dans la chambre.

«C’est à la chambre que tout a commencé. Lorsqu’elle m’a avoué qu’elle a un autre petit ami et, bien qu’elle m’aimait toujours, elle préférait me quitter pour lui», a déclaré Joël aux enquêteurs, selon des propos recueillis par nos confrères d’infos241. Le jeune meurtrier poursuit son effroyable récit : «Enervé, je l’ai étranglée et j’ai serré fort jusqu’à ce qu’elle ait perdu connaissance. Quand je l’ai lâchée, elle ne bougeait plus. Pris de peur, je suis allé à la cuisine prendre les allumettes et j’ai réuni un tas d’habits sur lequel j’ai mis le feu. Ensuite, je suis sorti par la porte arrière. C’est moi qui ai tué Dallas, et je regrette mon acte».

Croyant avoir réussi son coup, le « meurtrier pyromane » rentrera tranquillement chez lui avant d’être cueilli, au petit matin, par les pandores qui lui feront avouer la totalité de ses crimes. Joël devrait être présenté, dans quelques temps, au parquet d’Oyem, la capitale provinciale du Woleu – Ntem, où il sera, probablement, décidé de son placement sous mandat de dépôt à la maison d’arrêt du Peloton.

C’est à croire que les penchants meurtriers de la jeunesse actuelle gabonaise n’ont aucune limite. En attendant, ce sont deux familles que ce jeune meurtrier pyromane a envoyé dormir à la belle étoile, dont l’une qui doit, en plus, pleurer la mort de sa fille. Vivement qu’il réponde de ces actes odieux !!!!

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