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Jean Pierre OYIBA: Victime de calomnies, sauvé par les faits

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Depuis plusieurs jours, Jean Pierre OYIBA (JPO) est la cible d’une campagne de dénigrement orchestrée par des individus mal intentionnés, bien décidés à ternir son image en l’associant à des faits dont il n’est en rien responsable. À l’origine de cette manœuvre : la résurgence d’une ancienne vidéo, sortie de son contexte, dans laquelle Jacques Dupuis Dobi ressortissant franco-espagnol et ancien associé de Vincent BOLLORÉ profère de graves accusations sans fondement.

Condamné à plus de trois ans de prison après avoir perdu un procès face à Bolloré, Jacques Dupuis DOBI semble aujourd’hui animé par un désir de revanche. Dans cette vidéo, il tente d’impliquer injustement Ali BONGO ONDIMBA et Jean Pierre OYIBA dans une affaire opaque et manifestement fabriquée de toutes pièces. Il avance notamment que 49 % du capital de l’Office des Ports et Rades du Gabon (OPRAG) aurait été transféré à une société marocaine domiciliée à Gibraltar, dénommée CHIPOMAR.

Or, cette affirmation est non seulement mensongère, mais également démentie par les dispositions en vigueur au Gabon. En effet, la législation autorise les sociétés parapubliques en voie de redressement à ouvrir jusqu’à 49 % de leur capital à des partenaires privés, sans que cela ne remette en cause leur statut public. Une réalité juridique que la calomnie de Dupuis Dobi choisit sciemment d’ignorer.

Les anciens dirigeants de l’OPRAG avaient, dès le départ, perçu les intentions troubles de Jacques Dupuis DOBI. Sous des allures d’entrepreneur respectable, celui-ci cherchait en réalité à s’introduire dans les structures de l’Office à travers une convention rapidement dénoncée, une fois la supercherie révélée. L’homme n’était en vérité qu’un faux chef d’entreprise, simple relais de son ami Bolloré, dont les manœuvres frôlaient l’escroquerie.

Quelle que soit l’intention de ceux qui, aujourd’hui, s’évertuent à exhumer une vieille vidéo, leur tentative de ternir l’image de Jean Pierre Oyiba est vouée à l’échec. L’intéressé reste serein, fort de son intégrité et de la vacuité manifeste des accusations dont il fait l’objet. Le prétendu “pavé dans la mare” lancé par ses détracteurs n’aura fait que des ronds dans l’eau.

Honte à ceux qui, à court d’arguments, s’abaissent à déterrer des archives sans consistance dans l’unique but de nuire à ceux qu’ils perçoivent comme des adversaires.

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