Du financement à la production, HPO place le “Made in Gabon” au coeur de la SOGADA

Acteur de l’économie locale, le député de Mounana, Hervé Patrick OPIANGAH a choisi de miser sur l’expertise nationale pour relever le défi qu’il s’est fixé avec la Société gabonaise de développement agricole SOGADA. À ce titre, le projet a bénéficié du soutien financier du groupe bancaire gabonais BGFIBank, et emploie sur un peu plus de 400 employés, une main-d’œuvre principalement gabonaise, soit 300 agents. 

Pensé, conçu et produit par les gabonais, le projet d’extension des activités de la SOGADA, veut mettre en avant l’expertise locale. En effet, en dépit d’un contexte économique peu favorable à l’employabilité, Hervé Patrick OPIANGAH a fait le choix de la main-d’œuvre locale en lieu et place d’une main d’oeuvre majoritairement étrangère, low-cost. La SOGADA compte donc environ 300 emplois nationaux contre seulement une centaine non-gabonais.

Car pour l’initiateur du projet, «La SOGADA est un projet de vie qui intègre une dimension humaine et patriotique». Une vision de choix, qui a motivé l’homme d’affaires a choisir de financer une partie de son investissement, soit 25%, par la banque gabonaise BGFIBank. Alors que les ¾ de l’activité (75%) ont été financés sur fonds propres. 

Conséquence de la crise sanitaire de la Covid-19, qui sévit dans le monde depuis 2019, l’augmentation du chômage, notamment chez les jeunes, semble être le cheval de bataille de l’administrateur directeur général de l’entreprise de production d’œufs, d’élevage de viande porcine et de culture maraîchère, la SOGADA. Laquelle vient à travers son ambition d’extension de ses activités et de sa volonté de produire chaque année 50 millions d’oeufs, apporter une lueur d’espoir à plusieurs centaines de familles.