Pandora papers /Ali BONGO: un dossier vide de fond, qui s’apparente à un Gabon bashing

Sujet brûlant de l’actualité internationale et nationale, l’affaire des Pandora papers a été abordée ce 7 octobre 2021 lors de la conférence de presse du porte-parole de la Présidence de la République, Jessye ELLA EKOGHA. «On parle d’actes qui n’auraient rien de répréhensible, qui se seraient passés il y a plus de 20 ans et des sociétés qui aujourd’hui n’existent plus», a indiqué le Conseiller spécial d’Ali BONGO ONDIMBA, qui qualifie cette affaire de «scandale basé sur rien du tout». Le dossier qui ne relève d’aucune certitude quand aux accusations portées à l’encontre d’officiels africains et pour le cas du Gabon, contre Ali BONGO pourrait se révéler pour lui, comme une pratique pour susciter auprès des lecteurs un certain intérêt, de «mettre dans certaines de leurs études des noms pour que ça fasse plus vendeur». Il remet ainsi en cause la crédibilité de cette investigation qui fait tant parler d’elle à l’échelle internationale et contre toutes évidences s’apparenterait à une simple entreprise de sabotage à l’endroit de l’Afrique.

En effet, les propos du porte-parole font écho à un récent article à ce sujet, produit par la rédaction de Vox Populi 241, qui recense le caractère «dommageable» de ladite affaire. Pour laquelle «certains médias étatiques” ont choisi d’exposer les 43 dirigeants africains minoritaires, cités en lieu et place des personnalités de leurs pays désignés par centaines, rappelant ainsi un certain acharnement contre l’Afrique et le Gabon en particulier.