Société/Environnement
Seydou KANE: un exemple d’intégration au service du développement du Gabon
Le milliardaire et philanthrope malien fait rarement la une des journaux comme les hauts fonctionnaires de la République. Pourtant, ce ne sont pas les actions à fort impact social qu’il manque à mettre à l’actif de ce discret personnage, qui réside en permanence au Gabon depuis 30 ans. Alors que lui valent ces attaques lancées ça et là à coups d’articles de brûlots mal intentionnés ? Coup de projecteur sur le personnage.
Arrivé au Gabon en 1985, cet enfant de Madina Alahery, petit village situé à 8 km de Nioro du Sahel, région en proie aux affres du terrorisme islamiste, a fait son bout de chemin pour se hisser au rang des personnalités les plus influentes du Gabon. Aujourd’hui, il est propriétaire du Consortium International des Travaux Publics (CITP), qui a réalisé plusieurs infrastructures publiques et privées durant la décennie Ali BONGO.
En 2015, l’homme d’affaire a décidé de formaliser ses oeuvres de bienfaisance au travers d’une fondation dénommée Fondation Seydou KANE. Celle-ci s’est donnée entre autres missions de soutenir l’action des autorités gabonaises en matière de promotion de l’éducation, de la formation, l’insertion des jeunes, les initiatives sportives et culturelles et l’accompagnement des projets sociaux.
Outre des actions en faveur de la communauté musulmane nationale, le philanthrope et milliardaire s’active aussi dans son pays natal le Mali, qui traverse une crise sécuritaire sans précédent. En 2017, c’est par un don d’une soixantaine de millions à l’armée malienne qu’il a humblement contribué à l’effort de lutte contre le terrorisme dans le pays.
Ces faits d’armes et actions sociales continus ont contribué à bâtir la réputation de ce malien naturalisé gabonais. Pour ses bons et loyaux services à la nation, ce discret mais ô combien charitable citoyen a été élevé au rang de Chevalier de l’Ordre du Mérite. Une distinction qui vient couronner 30 années passées au Gabon à oeuvrer pour aider ses compatriotes et son pays d’adoption.
C’est le lieu de s’interroger sur la crédibilité et la déontologie de certains mercenaires de la plume, opportunistes à peine dissimulés qui se disent journalistes, qui s’acharnent sur cet homme au demeurant humble et sans histoire. Par exemple, sur quels éléments s’appuie le journal “Fraternité” pour dénigrer la personne de Seydou KANE ? Quand on sait que ce fils du 2e arrondissement de Libreville s’y est maintes fois illustré par des œuvres de charité pour soulager le quotidien difficile des populations des quartiers comme Kinguélé par exemple.
La moralité et le professionnalisme doivent prévaloir dans l’exercice du métier de journaliste. Et par dessus tout, l’esprit de patriotisme doit être l’apanage de tous les citoyens. Comme il anime la passion et l’altruisme du digne fils du pays, qui a inlassablement rendu à la terre qui l’a adopté, alors qu’il n’était encore rien.
« J’aime profondément ce pays et je ne vis donc pas ma citoyenneté gabonaise à moitié ni par opportunisme. Je connais beaucoup de personnes qui font des affaires dans des pays sans y résider », avait-il déclaré après avoir reçu sa médaille de l’Ordre du Mérite. C’est dire combien de fois il est attaché au Gabon et il le prouve constamment par des oeuvres perceptibles. Pour que la mesquinerie, la xénophobie et la jalousie ne l’emportent pas, il y a lieu de reconsidérer la belle personne de Seydou KANE qui au lien d’inspirer la méchanceté gratuite, forcent l’admiration et appellent à l’émulation
L’homme d’affaires prospère et humaniste avéré, est donc une belle preuve d’immigration réussie, dans ce pays où les expatriés suscitent la controverse et attisent la xénophobie du fait d’actes contraires à l’éthique et à la morale. Le Gabon a grand besoin de beaucoup plus de Seydou KANE.