Référendum 2024: Jean-Pierre OYIBA galvanise les populations du Haut-Ogooué en faveur du « Oui »

Plus que quelques heures, précisément 2 jours , avant le premier scrutin qui marque l’ère post-Ali BONGO. Tout le pays est en effervescence à l’idée de se doter d’une nouvelle Constitution fruit d’un dialogue consensuel. Dans le Haut-Ogooué, notre rédaction à été, durant quelques jours, aux côtés de ceux favorables audit projet de loi. L’un des membres de cette équipe dynamique et proche des populations de cette province, Jean-Pierre OYIBA (JPO), Superviseur général 1, de la Coordination Nationale, a particulièrement attiré notre attention avec son message galavanisateur et pédagogue. Celui-ci visant à ratisser large pour un plébiscite favorable, le 16 novembre 2024, de la nouvelle loi fondamentale soumise au référendum.

Que ce soit à Franceville, Okondja, ou encore à Léconi, la stratégie reste la même : proximité, pédagogie et motivation. Pour l’ancien député du 1er arrondissement de la commune de Franceville, la nouvelle Constitution est un vecteur d’unité et de décentralisation renforcée. Selon lui, cette révision constitutionnelle permettra de promouvoir un État unitaire mais profondément décentralisé, apte à mieux répondre aux défis du développement national.

« Pour un peuple comme le nôtre, notre Bible, notre Torah et notre Coran c’est la Constitution. Elle nous permet d’établir les règles pour un meilleur vivre-ensemble en amour et en harmonie avec les autres», a-t-il indiqué.

Avant d’ajouter, «nous sommes en famille et en famille on ne fait pas de discours, mais on parle avec le coeur. Pour nous, le vote est déjà clos. Je tiens juste à assurer à la Coordination nationale ici présente de ce que les 190.000 électeurs du Haut-Ogooué, le 16 novembre, voteront « Oui » ».

Fort de cet enthousiasme, les habitants du Haut-Ogooué ont exprimé leur soutien en promettant de voter « Oui » en toute conviction, alignés avec leurs idéaux. Dans son discours, Jean-Pierre OYIBA a  réitéré que : «le Référendum est ce processus qui invite chaque citoyen à se prononcer sur une proposition de l’Exécutif. Pour nous, la réponse à cette question est claire : “Oui”, un grand “Oui” le. »