Gabon / Bourses synergie: au CIMEFP, Martin BOGUIKOUMA s’enquiert du cadre d’apprentissage des étudiants

La chaleur, le soleil et moins encore l’étendue de la surface à découvrir n’auront rien enlevé à la motivation du Directeur général de l’Office des ports et rades du Gabon (OPRAG), Martin BOGUIKOUMA en visite au Centre international multisectoriel pour l’enseignement et la formation professionnelle (CIMFEP) de Nkok. Une visite découverte pour le responsable de la communauté portuaire du Gabon, venu s’enquérir du cadre et des conditions d’apprentissage des étudiants inscrits aux formations spécifiques des secteurs maritimes et portuaires, dans le cadre du programme de bourse synergie. 

D’ateliers en ateliers, Martin BOGUIKOUMA a été marqué par la compétence des encadrants, la noblesse du cadre et la qualité des équipements mis à la disposition des apprenants. Un ensemble qui l’a rassuré de ce que les jeunes inscrits aux formations des secteurs maritimes et portuaires sont à n’en point douter entre de bonnes mains, et l’avenir de la communauté portuaire ainsi garantie. 

En effet, a-t-il assuré en présence du Directeur général de l’agence nationale de la Formation professionnelle et celui du CIMFEP, «au sortir de ma visite, je suis ravi de voir que les étudiants qui ont été retenus dans les 2 filières, sont dans un bon cadre d’apprentissage, agréable et où il fait bon vivre. Avec un personnel vraiment qualifié. C’est l’occasion pour moi de rassurer le reste de la communauté portuaire, qui est derrière l’Oprag, de continuer à s’impliquer très fortement pour la formation des jeunes gabonais dans ce centre».

Une implication à laquelle il invite less opérateurs économiques de secteurs divers à nouer des partenariats de formation avec le CIMFEP, ce «joyau», fruit d’un investissement grandiose de l’État gabonais, pour s’assurer d’une main-d’oeuvre qualifiée. Pour sa part, a-t-il assuré, «je ferai en sorte que toute la communauté portuaire puisse s’impliquer davantage, et même d’autres corps de métiers». Non sans promettre le soutien de l’OPRAG aux apprenants et à l’établissement qui les accueille.