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Gabon /Logement sociaux de la cité Alhambra: Mireille KALEBOUGA se serait-elle rendue victime de ses malversations ? 

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Plusieurs jours maintenant que les réseaux sociaux font état de la situation que vivrait Mireille KALEBOUGA, qui dormirait désormais à la belle étoile, après s’être fait ravir un des logements qu’elle loue à la Cité Alhambra. Des allégations qui seraient de nature à manipuler l’opinion, d’autant que la supposée victime n’aurait jamais occupé lesdits appartements et ne serait pas sans domicile fixe. 

Contrairement à ce que prévoit l’article 8 du contrat de bail, «le locataire s’engage à ne pas sous-louer ou céder son bail à des tiers, pour quelque cause que ce soit, sous peine de résiliation de plein droit, du contrat par le bailleur», pourtant Mireille KALEBOUGA qui jouissait illégalement de 3 appartements à la Cité Alhambra, les sous-louait à des compatriotes en détresse. Se faisant du beurre sur leur dos, à raison d’un versement mensuel de 150 000 par logement.

Pourtant, en plus de n’avoir jamais habité le logement de la cité Alhambra comme elle le prétend, celle que les habitants de ladite cité décrivent comme une dame mentalement déséquilibrée, n’avait jamais régulièrement payé son loyer au Centre technique de l’habitat (CTH). Lequel, ne saurait mettre dame Euphrasie NDAGHUY, mère de 3 enfants entrée de manière irrégulière dans le logement de Mireille KALEBOUGA, resté pendant longtemps inoccupé. 

De fait, le CTH examine actuellement la procédure de régularisation de Euphrasie NDAGHUY ,d’une part et étudie le cas de  Mireille KALEBOUGA dans l’optique de lui attribuer un autre logement parmi les deux-cent-soixante-quinze (275) recensés dans le cadre de l’opération «vipère», d’autre part, indique le communiqué publié par le CTH le 23 août dernier. 

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