Politique
Les ASSELE où l’histoire d’un égocentrisme hors du commun
Originaire du Haut-Ogooué et très proche familialement du cercle présidentiel depuis plus de 50 ans, les ASSELE ont depuis tout ce temps trôné sur le Gabon en alliant leur orgueil et leur malice au service d’une ambition familiale liée à leur boulimie pour les deniers publics. Il est fort déplorable de constater que ces derniers, notamment le patriarche ASSELE, montent au créneau, par voix de chantage, à chaque fois que le moindre poste juteux leur échappe. Une attitude qui a finit par laisser les populations indifférentes à leur « souffrance », tant les mis en cause sont féru de «toute puissance éternelle».
Une histoire qui commence d’abord avec le père Jean-Boniface qui, par le biais de la force, s’est approprié plusieurs espaces terriens dans la capitale gabonaise sous le regard impuissant des populations qui cherchent un bout de terre pour mettre leurs familles à l’abris.
Sa fille Nicole ASSELE DABANY va en faire la démonstration en s’inspirant des traces de son papounet. Ses passages à la tête de la fédération de Handball puis au ministère des Sports témoignent grandement de son incompétence. Les trous financiers causés par ce vautour des biens publics n’en disent pas moins.
Le dernier révélateur est sa gestion décriée à la tête de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS). Jugée chaotique. On lui reprocherait entre autres, bien plus que ses deux prédécesseurs, de détournement maissif de l’argent des retraités. Dieu étant maître de toute circonstance, la colère des personnes du 3e âge lui a valu son éviction pure et simple.
Aujourd’hui, au chômage, Nicole ASSELE, qui détient pourtant un statut de médecin, aurait aux côtés de son père, trouvé une nouvelle vocation : « animatrice des cabales sur les réseaux sociaux « .
Triste attitude pour des gens qui ont toujours bénéficié des grâces de ce pouvoir qu’ils tentent dorénavant de jeter en pâture pour la simple cause que leurs intérêts personnels n’aient pour une fois pas été pris en compte au regard des nombreuses bavures en leur actif.