Société/Environnement
Disparu des écrans radars «des autorités», Jean Rémy YAMA dit «ne pas avoir enlevé le corps» en France
Annoncé au Bénin, en France (même par nous et on s’en excuse ! Appart les réseaux, on va encore investiguer ou? Bref), après sa déclaration du 2 juillet dernier, où il a déclaré avec panache, comme l’aurait fait Mahmoud AHMADINEJAD à la tribune des Nations-unies sur la shoah, «Ali Bongo Ondimba est mort, il n’existe plus!», le leader de la confédération syndicale Dynamique Unitaire (DU) s’est complètement évaporé. Disparu de la nature. Le syndicaliste dans un supposé « message » qui lui ait attribué affirme pourtant qu’il est bien «au bled», au Gabon. Message, parvenu à notre rédaction que nous publions ci-dessous.
«Bonjour chers collègues. J’ai dû vous quittez précipitamment pour des raisons que vous connaissez. Comme vous me connaissez j’ai horreur de l’injustice et du mensonge. Il y a un gros mensonge au sommet de l’état qui ne pouvait pas laisser dynamique unitaire indifférent. Il ne devrait d’ailleurs laisser aucun intellectuel, aucun universitaire indifférent.
Les rumeurs les plus folles disent n’importe quoi sur moi. Sachez que je vais très bien. Le pouvoir a mis des gens à mes trousses pour m’éliminer physiquement. Je suis discret pour l’instant pour des raisons de sécurité. Les informations qu’ils balancent sur les forums et réseaux ont pour objectif de prêcher le faux pour avoir le vrai. Ils ne savent en réalité pas où je suis. Je n’ai demandé l’asile politique à aucun pays. Qui vous dit que j’ai réellement quitté le pays. Dans tous les cas je n’ai pas fuis et je vous reviendrais le plus vite possible.
Je n’ai ni peur des poursuites judiciaires et encore moins de la prison. Je répondrais à toutes les convocations judiciaires qui me seront adressées. Continuer la lutte syndicale nous sommes au bout de nos peines tenez bon.
Jean Rémy YAMA».
Les rumeurs les plus folles disent n’importe quoi sur moi. Sachez que je vais très bien. Le pouvoir a mis des gens à mes trousses pour m’éliminer physiquement. Je suis discret pour l’instant pour des raisons de sécurité. Les informations qu’ils balancent sur les forums et réseaux ont pour objectif de prêcher le faux pour avoir le vrai. Ils ne savent en réalité pas où je suis. Je n’ai demandé l’asile politique à aucun pays. Qui vous dit que j’ai réellement quitté le pays. Dans tous les cas je n’ai pas fuis et je vous reviendrais le plus vite possible.
Je n’ai ni peur des poursuites judiciaires et encore moins de la prison. Je répondrais à toutes les convocations judiciaires qui me seront adressées. Continuer la lutte syndicale nous sommes au bout de nos peines tenez bon.
Jean Rémy YAMA».